Lire notre revue Vatusium n° 18, 2015 « Les Passerands dans la Grande Guerre », 1ère partie : 1914 et 1915, p. 7-8.
Certains Passerands ont servi dans la cavalerie : hussards, dragons, cuirassiers, chasseurs à cheval, et même spahis. Voir notre page « Les Passerands dans la cavalerie en 14-18 »
Destin de la cavalerie dans la Première Guerre mondiale
L’historien Yves Le Naour analyse la situation des cavaliers : « Orgueilleuse, refusant de mettre pied à terre et de se battre comme des fantassins à la différence des Allemands, incapable de se départir d’une idée chevaleresque de la guerre, rêvant de charge héroïque sabre au clair, la cavalerie ne servira pas à grand-chose. » (Yves LE NAOUR, 1914, éd. Perrin, 2013, page 211)
« Envoyée en reconnaissance en Belgique, en couverture des Anglais, épuisée par une longue retraite, elle sacrifiera inutilement ses chevaux sans jamais véritablement livrer combat. Quand elle se décidera à charger, pour l’honneur, alors que les leçons de la guerre moderne ont déjà été tirées et que ses jours sont comptés, les balles de mitrailleuses lui feront un sort définitif qui la conduira à rejoindre les tranchées, penaude et humiliée. » (Yves LE NAOUR, 1914, éd. Perrin, 2013, page 211)
Exemples de charge de cavalerie au début de la guerre
Charge héroïque du 4e Chasseurs d’Afrique à Heidwiller près d’Altkirch en Alsace
« Ce régiment de cavalerie légère aurait, en France, effectué la première et dernière charge de la Grande Guerre pour se dégager d’une méga embuscade allemande dans la région d’Altkirch au sud de l’Alsace (région de Mulhouse). L’action qui a beaucoup impressionné les Allemands a été relatée dans la presse.
Voici la traduction, par Jean-Jacques Waltz dit « Hansi » (1873-1951) le célèbre caricaturiste et affichiste alsacien né à Colmar, de l’article paru dans la « Gazette de Francfort » et reproduit dans le « Strassburger Neue Zeitung » du 8 septembre 1914.
Cet article relate la charge héroïque des Chasseurs d’Afrique.
« Subitement, vis-à-vis du centre des lignes allemandes, on voit apparaître sept à huit cents cavaliers : c’étaient des Chasseurs d’Afrique. On se rendit compte tout de suite du côté allemand qu’ils allaient attaquer et les ordres suivants furent donnés : « Visez bien, tirez avec calme, d’abord sur le cheval puis sur l’homme. »
À peine ces ordres furent-ils donnés que le sol trembla sous le galop des chevaux et l’air retentit des cliquetis des armes et des cris des cavaliers. Mais, leurs escadrons n’ont pas, pour la charge, la formation serrée de la cavalerie allemande. Les unités commençaient à se disloquer et à se séparer à huit cents mètres environ des lignes allemandes. Les Allemands couchés tranquillement derrière leurs fusils, ne bougeaient pas. Les mitrailleurs étaient prêts et commencèrent un feu, d’abord lent, mais pointé avec soin et terrible lorsque les Français furent à trois ou quatre cents mètres. Le combat dura deux ou trois minutes à peine et l’effet du tir allemand fut effrayant. Le tir n’était pas très rapide ; les coups de feu éclataient lentement, lorsque le tireur était sûr de toucher son but. Nulle troupe d’élite n’aurait tiré avec plus de calme. On abattit d’abord le premier rang ; les cavaliers qui chargeaient en deuxième ligne ne pouvaient plus s’écarter et tombaient par-dessus les chevaux tués. On entendait le hennissement douloureux des pauvres bêtes qui se débattaient et essayaient de se remettre sur pieds. De-ci, de-là, on voyait un cavalier tenter de remonter en selle et retomber immédiatement. Et le tir régulier des lignes allemandes continuait inlassablement. Aucun cavalier ne put tourner bride, tellement ils étaient près de la ligne de feu.
Du magnifique et puissant tableau qu’offraient, quelques minutes avant, ces escadrons lancés à la charge, il ne restait qu’un amas sans nom de chevaux et d’hommes hachés et sanglants.
Un deuxième bataillon de Landwehr vint à surprendre l’aile droite des Français, avant qu’ils aient pu charger une deuxième fois : ils durent se replier.
Parmi les Chasseurs d’Afrique, vingt-sept hommes restèrent indemnes entre nos mains. Les autres étaient blessés grièvement ou tués. »
Offert par Hansi à Épinal le 20 septembre 1914.
Nota : Pour amplifier la portée de leur action, les Allemands en ont manifestement exagéré l’intensité et ils ont surestimé l’effectif des Chasseurs d’Afrique. En fait, il ne s’agissait que d’une sérieuse escarmouche qui a engagé un seul escadron de cent vingt hommes. La charge eut lieu sur un terrain très défavorable. Beaucoup de chevaux culbutèrent dans une ravine sans être touchés par les balles.
La mission de la cavalerie ce jour-là n’était pas d’attaquer mais de reconnaître. La reconnaissance exécutée par le régiment fut donc une entière réussite puisqu’elle permit de se rendre compte des positions ennemies et qu’elle obligea l’artillerie allemande à se démasquer avant l’heure.
Toutefois, pour dégager le régiment, il était nécessaire qu’un escadron se sacrifiât : il l’a fait noblement.
Quant aux tirs des Allemands, il convient aussi de rétablir quelque peu la vérité. L’ennemi a été en fait très maladroit. Il est bien vrai qu’un régiment de Landwehr a tenté de couper la retraite au régiment de Chasseurs lorsqu’il se retira d’Heidwiller. Au galop, en masse serrée sur une route toute droite et à découvert, les Chasseurs furent exposés sur près d’un kilomètre aux tirs adverses à environ cent cinquante mètres d’eux. Pas un cavalier ne fut touché par une balle ! Ce fut certainement le résultat d’une incroyable maladresse des Allemands. Il aurait suffi de cinq ou six bons tireurs pour abattre les chevaux de tête et ainsi faire culbuter les autres dessus, ce qui aurait immobilisé le régiment. Alors, il y aurait certainement eu une horrible boucherie. » (site pages 14-18)
Remarques : Heidwiller est une commune française de l’aire urbaine de Mulhouse située dans le département du Haut-Rhin, en région Alsace.
Dans la matinée du 7 août 1914, l’armée française s’empare de la ville d’Altkirch et se déplace vers le nord le jour suivant, gagnant le contrôle de Mulhouse grâce à un repli stratégique des Allemands.
Indépendamment des autres faits d’armes de ce 4ème régiment de chasseurs d’Afrique (au col de la Chipotte dans les Vosges, par exemple), j’ai très touché de retracer, à partir des carnets d’un officier, son action dans le cadre de “la course à la mer“. Nuit et jour, les cavaliers ont harcelé en divers lieux les Allemands pour leur faire croire que les forces françaises étaient plus conséquentes que dans la réalité. Cette stratégie d’ubiquité a fonctionné, les Allemands ont commencé à s’enterrer et les Anglais ont pu débarquer. »
Elie Durel (auteur de “L’histoire d’un conscrit de 1913” aux éditions Ouest-France.
Charge du 5ème hussards le 25 septembre 1915 à Beauséjour (Champagne)
Récit disponible sur le site leshussardsdelauzun . Une fois sur le site, cliquer dans la rubrique « Traditions » sur « Beauséjour (1915).
Il y a plusieurs photos de chevaux errant entre les tranchées (la charge s’est terminée à pied !) et de chevaux morts. D’après le site, les hussards ont fait 800 prisonniers et ont eu 17 tués et 42 blessés (+ 140 chevaux tués), ce qui leur a valu une citation à l’ordre de l’armée.
La charge a été menée en même temps qu’une attaque d’infanterie. (site pages14-18)
Récit de la charge de cavalerie du lieutenant Gaston de Gironde le 9 septembre 1914, près de Villers-Cotterêts
Ce combat de petite importance est néanmoins resté célèbre dans la cavalerie car il est le baroud d’honneur de l’arme appelée à disparaitre des champs de bataille, la cavalerie, contre l’aviation, fer de lance des armées modernes !
Récit disponible sur le site cavaliers.blindés. Pour bien comprendre le combat, il faut connaître la topographie des lieux. Le combat se déroula sur le plateau picard, sur la commune de Vivières, (juste au nord de Villers-Cotterêts) ; à cet endroit s’étendent de vastes horizons où l’on rencontre de riches cultures ; le village lui-même s’accroche sur les pentes de la côte de l’Ile-de-France et quand vous partez vers l’ouest vous pénétrez dans la forêt de Retz ; dans cette partie ce sont des massifs forestiers profonds, sans grandes cultures avec des routes sinueuses et étroites encore aujourd’hui. C’est dans cette partie que la troupe du lieutenant de Gironde se trouvait au repos après avoir patrouillé quand elle a appris qu’une escadrille allemande était stationnée sur le plateau.
Le corps du lieutenant de Gironde repose aujourd’hui dans le cimetière de Vivières ; un monument commémoratif érigé à l’endroit où Gironde a été mortellement blessé se trouve à un bon kilomètre du village sur le plateau. Gironde est mort dans le château à côté de l’église où sont conservées des reliques de sainte Clotilde !
La voie principale de ce petit village porte le nom de “rue du Lieutenant-de-Gironde”. (site pages14-18)
Les cavaliers démontés…
Le désenchantement : la cavalerie devient une arme inadaptée à une nouvelle forme de guerre
Au cours de la Première Guerre mondiale, les cavaliers vont devoir mettre pied à terre. « A la déclaration de la guerre, l’état-major français pense pouvoir utiliser la cavalerie comme il l’avait fait pendant la guerre de 1870-1871. En août 1914, c’est une arme d’élite, une force de pointe, légère et mobile, la plus rapide sur le champ de bataille. » Voir suite du texte dans Vatusium n° 18, p. 8 (Sites files.itslearning et cheval.culture)
Les cavaliers se remettent en selle en 1918
La manœuvre d’Uskub (aujourd’hui Skopje), le 29 septembre 1918, dernière victoire de la cavalerie française dans les Balkans
La Manœuvre d’Uskub a eu lieu du 24 au 30 septembre 1918 en Macédoine. Elle permet aux troupes alliées, commandée par le général Louis Franchet d’Espérey, d’exploiter la percée du front (Bataille de Dobro Polje) en remontant la vallée du Vardar en direction de Vélès et d’Uskub, coupant ainsi l’armée bulgare en deux et obligeant la Bulgarie à signer l’armistice le 29 septembre. (Wikipedia, art. Manœuvre d’Uskub)
« Des événements, qui se sont déroulés dans les Balkans en 1918 et sont très peu connus du grand public, concernent les cavaliers du Général JOUINOT-GAMBETTA.
Après un bref repos à Uskub, chasseurs d’Afrique et spahis marocains se jettent à nouveau en pleine montagne, à travers des massifs déchiquetés… La cavalerie française est arrivée le 21 octobre 1918 à 18 heures sur le Danube. Les conditions de combat certes ne sont pas celles de Reichshoffen. L’armistice intervient un mois après ce qui met fin à l’épopée de la cavalerie française pendant la grande guerre.
Les 1er et 4ème chasseurs d’Afrique (4e RCA) sont du détachement d’exploitation du général JOUINOT-GAMBETTA.
La cavalerie légère d’Afrique offrit à la France la dernière victoire de la
guerre, Uskub, le 29 septembre 1918. Ce fut la plus belle, avec capitulation de l’ennemi. Cette cavalerie légère avait le meilleur cheval de selle de guerre de troupe.
Après la rupture du front Germano-Bulgare par l’infanterie à Dropopoljé, la brigade de cavalerie d’Afrique est lancée sur les arrières ennemis, le 21 septembre 1918 au soir, par le Général en Chef.
Objectif USKUB, nœud ferroviaire derrière le front. Sans laisser un traînard, la brigade atteindra le Danube où l’arrêtera l’Armistice général, moins de 50 jours plus tard. Mais l’incroyable fut, les 26-27-28 septembre 1918, le raid, par les sentiers de chèvres, de ces 2000 chevaux à travers les montagnes de Macédoine
culminant à 2000 mètres. Par ce chef d’œuvre de manœuvres d’infiltrations
sur les arrières, cette cavalerie légère investit et prit Uskub le 29 sans coup férir.
La retraite de la 11ème armée allemande était coupée, elle capitulera. Ce même
jour, la Bulgarie demande l’armistice. » (site pages 14-18)
Historique du 4e Rgt de chasseurs d’Afrique
« Le 4e RCA est mobilisé en août 14, quitte Tunis le 4, embarque à Alger le 9 et débarque à Sète. Dirigé sur le Doubs le 4e est affecté à la 44e DI et se porte en Alsace (16-22 août), se replie dans les Vosges puis en Lorraine. La 44e DI étant disloquée, il part en Artois (octobre) et combat autour d’Arras et dans les Flandres, vers Armentières, et en Belgique (novembre). De retour en Artois (décembre14-septembre15), il occupe les secteurs de Mont-Saint-Eloy, Berthonval, le Cabaret Rouge, Souchez.
Désigné pour l’armée d’Orient le Rgt est dirigé sur la région Lyonnaise le 19-10-15. Il devait former avec les 2e, 5e, 7e RCA une division de chasseurs d’Afrique. Ce projet étant annulé, seul le 4e partira. Embarqué à Marseille début novembre, il débarque à Salonique entre les 13 et 23 novembre. Il forme une brigade avec le 1er RCA.
Premier séjour en Macédoine, le Vardar, lac de Doiran, camp retranché de Salonique (janvier-mars 16). 4 de ses escadrons forment les escadrons divisionnaires des 30e, 156e, 157e DI, 17e DIC. Opérations sur la Strouma (août), en Albanie (octobre-décembre). Deuxième séjour en Macédoine (janvier-mai 17) puis en Thessalie (juin-juillet). Troisième séjour en Macédoine (août-décembre 17), Vieille Grèce (février-août 18). Quatrième séjour en Macédoine (septembre) et offensive vers le Danube. Prise d’Uskub le 29-09-1918 puis de Mitrovitza. Ses escadrons traversent la vieille Serbie, le Monténégro, la Hongrie, la Bulgarie, franchissent le Danube et arrivent en Roumanie (novembre18). » (site pages14-18)
Voir aussi son historique sur le site collection-insignes-napo.
Autre exemple : Naplouse, en septembre 1918 (voir Wikipedia art. « Histoire de la cavalerie française pendant la Première Guerre mondiale : autres fronts, la Palestine ») :
En mars 1917, quelques unités françaises sont envoyées en Egypte pour participer à la campagne de Palestine au côté des forces britanniques. Il s’agit d’une demande du ministère des Affaires étrangères, qui veut faire participer ces unités à la conquête de la Syrie, ce territoire ottoman devant devenir une zone d’influence française selon les accords Sykes-Picot de 1916. Trois bataillons d’infanterie forment le « détachement français de Palestine » (DFP).
(…) Les diplomates poussant à la participation aux combats, le détachement est renforcé avec des volontaires arméniens et syriens (la « légion d’Orient ») et surtout avec de la cavalerie (les seules unités françaises alors disponibles).
Le 19 mars 1918, arrivent à Port-Saïd les 5e et 6e escadrons du 4e chasseurs d’Afrique ainsi que trois pelotons du 1er spahis (pour reformer le 3e escadron avec le quatrième peloton déjà sur place). (…) Est ainsi constitué un régiment de marche de cavalerie (…) Le tout (infanterie, cavalerie, artillerie, génie, etc.) prend le nom de « détachement français de Palestine-Syrie » (DFPS) à partir du 27 mars 1918. (…)
L’effectif du régiment est au 1er septembre de 25 officiers, dont 23 Européens, et de 692 hommes, dont 517 Européens.
Le 19 septembre 1918 au matin est lancée l’offensive sur le front du 21e corps britannique, dans la plaine de Sharon ; la cavalerie est rapidement engagée dans la percée, fonçant plein nord. Le régiment de cavalerie français encercle « Toul Kérem » (Tulkarem), prenant 1 800 prisonniers, 17 canons (dont une batterie autrichienne) et 18 mitrailleuses.
Dans la nuit du 19 au 20, la brigade australienne réalise un raid, coupant la voie ferrée entre Naplouse et Jénine, près d’Adji.
Le 21 septembre, le régiment français entre à Naplouse après avoir chargé à travers les jardins et les rues, capturant 900 prisonniers, trois canons et neuf mitrailleuses ; les pertes pour Toul Kérem et Naplouse ne sont que de sept blessés, tandis que les chevaux tués sont remplacés par les prises turques. Le 22 septembre, le régiment est à Jénine, le 25 à Nazareth, le 26 à Tibériade, le 27 il combat à pied (utilisant ses FM) pour franchir le Jourdain, participant à l’encerclement des forces ottomanes en Galilée. Le 29 a lieu un combat de nuit à l’ouest de Sasa, puis le 30 il barre les routes et le chemin de fer à l’ouest et au nord de Damas, mitraillant les colonnes turques en retraite. Le 1er octobre, le Desert Mounted Corps (regroupant les divisions de cavalerie britanniques et australienne) et l’armée arabe entrent à Damas, tandis que les Français sont à Douma. Le 2, un escadron mixte participe à l’entrée solennelle des troupes alliées dans Damas Enfin, du 2 au 4 est mené le nettoyage des fuyards autour de la ville. Dans les jours qui suivent, huit cavaliers meurent à l’hôpital de Damas. Le 15 octobre, l’Empire ottoman demande un armistice ; il est signé le 31 à Moudros.
Sources :
Wikipedia, art. « Mobilisation française en 1914 »
Wikipedia art. Uskub
Wikipedia art. « Histoire de la cavalerie française pendant la Première Guerre mondiale : autres fronts, la Palestine »
site fondationmarechaldelattre
site sambre-marne-yser.be
site files.itslearning : la cavalerie française en 1914
site pages 14-18 : Histoire de la cavalerie ; site pages14-18 Chasseurs regiment
site Elie Durel
site leshussardsdelauzun
site cavaliers.blindés : gironde
Bibliographie
Yves LE NAOUR, 1914, éd. Perrin, 2013
Pour en savoir plus
Site bmlisieux : Denis Bogros, Histoire du cheval de troupe de la cavalerie française : 1515-1918. Le barbe, cheval du Maghreb et de la cavalerie francaise d’Afrique. Uskub : la plus belle victoire.
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