Culture, Histoire et Patrimoine de Passy

Historique et JMO du 14e BCAP, août-septembre 1914

Written By: BT

Lire notre revue Vatusium n° 18, 2015 « Les Passerands dans la Grande  Guerre » 1e partie : 1914-1915 et  Vatusium n° 19, 2016 « Les Passerands dans la Grande Guerre », 2e partie : 1916 à 1919.

Cette page BONUS complète nos articles publiés dans les numéros 18 et 19 de Vatusium :
Vatusium n° 18, p. 43, Les soldats passerands en Alsace en 1915 ;
Vatusium n° 19, p. 4, Lettre de Raymond Perroud à Anna Buttoudin après la mort de son fiancé Eloi Arvin-Bérod

Introduction

Voir notre page « Correspondance de Raymond Perroud et Anna Buttoudin sur la mort de son fiancé Eloi »

Eloi ARVIN BEROD, né à Praz-sur-Arly, « habite en décembre 1911 au Fayet, commune de St-Gervais », juste à côté du hameau des Plagnes à Passy ; il  est rappelé à l’activité à la mobilisation générale au 14e Btn de chasseurs à la 5e compagnie. Arrivé au corps le 2 août 1914. Il est tué à l’ennemi le 26 septembre 1914 à Maucourt dans la Somme [au sud de Lihons et Chaulnes]

RESUME de l’ historique du 14ème BCAP au début de la Grande Guerre

Caserné à Grenoble et au Maroc, le 14e BCAP fait partie de la 53e brigade d’infanterie, 27e division d’infanterie, 14e corps d’armée.
En 1914, le 14e BCAP participe aux opérations d’Alsace (fin août), puis à celles de Lorraine en Haute-Meurthe. C’est ensuite la Bataille de la Marne (6 – 13 sept.) : St-Rémy (10 sept.) ;
puis course à la mer : Vermandovillers, Chaulnes, Lihons (Site chtimiste)

Sur la « course à la mer », voir nos pages

« Les Passerands des 30e, 52e, 140e RI dans la Somme de septembre à décembre 1914 »

« Les Passerands à Herleville, 25-26 septembre 1914, JMO du 30e RI et du 99e RI »

Le 14e Corps d’Armée dans la Course à la mer, en bas de la carte 

Le 14e C.A. dans la Course à la mer, en bas de la carte (site CRDP de Strasbourg, page Première Guerre mondiale, guerre en 14)

Les dernières semaines d’Eloi ARVIN BEROD :

 Récit tiré de l’Historique du 14ème Bataillon Alpin de Chasseurs à Pied (site alpins.fr)  :

Août – septembre 1914 : L’Alsace, les Vosges, la SommeTranscription Bernard Théry, avril 2016 (Site gallica.bnf.fr)   :

Historique du 14e BCAP, couverture (site gallica.bnf.fr)

« Le 9 août 1914, le 14e débarque à Bordeaux. Le 15, il est à Saint-Dié. Du 18 au 25 août, il combat dans la vallée de la Bruche en Alsace. Le 26, il reçoit l’ordre de se porter vers Raon-l’Etape où l’avance ennemie devient inquiétante.
Dans cette région de collines boisées, éminemment favorable à l’initiative et au courage individuels, les Chasseurs vont montrer toutes leurs brillantes qualités de soldats aguerris.
A la côte de Répy, la 4e Compagnie commandée par le Capitaine LATRABE, inscrit dans ses annales une immortelle page de gloire. Restée en arrière – garde, elle est cernée par un bataillon allemand.
Pendant plus de six heures elle résiste à des assauts furieux, contre-attaque à son tour, arrête la marche des Allemands et finit par se dégager à la nuit par une charge audacieuse à la baïonnette. Seuls les morts et les mourants restent aux mains de l’ennemi.
Pour ne pas être faits prisonniers, les blessés se relèvent, suivent leurs camarades et s’échappent : VIAL avec six balles dans le corps, dont trois graves, LANÇON avec trois balles dont une a traversé un poumon, LEBRAT avec un poignet cassé, REBOULIN un poumon traversé, et combien d’autres dont les noms ne sont pas connus.
Du 29 août au 10 septembre, le village de Nompatelize est le théâtre de luttes épiques. Trois fois conquis par les Allemands, il est trois fois repris par le 14e. La 6e Compagnie se distingue dans cette lutte. Le 29 août, le Capitaine GRETHNER l’emmène à l’assaut, la baïonnette haute aux accents de la « Sidi-Brahim ».
Le chef tombe glorieusement mais ses Chasseurs le vengent.
Le village est repris et les Allemands stupéfaits de tant d’audace, n’appellent plus les Chasseurs que les Diables bleus. »

« Après la victoire de la Marne, le Bataillon est envoyé dans la Somme. Il est commandé par le Chef de Bataillon JUSTIN qui est nommé Lieutenant-Colonel le 20 septembre et qui est remplacé par le Commandant de REYNIÈS.
A Chilly, les 3e, 4e, et 5e Compagnies envoyées en soutien d’un Corps de Cavalerie font l’admiration de tous et méritent une citation à l’Ordre de la 3e Division de Cavalerie. Dans les attaques violentes qu’ils vont faire pour reprendre leur marche sur Paris, les Allemands vont trouver les Chasseurs du 14e devant eux, autour du village de Maucourt. Ce sera encore un nom glorieux à inscrire dans l’histoire du Bataillon. »

Note bas de page : Le 26 août 1914, lors du combat de la Côte de Répy (région d’Etival, Vosges), la 4* Compagnie étant cernée pendant plus de deux heures par un bataillon allemand, le Capitaine Latrabe, qui la commandait, enterra lui-même son fanion pour qu’il ne puisse tomber aux mains de l’ennemi. La Compagnie réussit cependant à se dégager à la baïonnette. Plus tard (Mars 1915), après le recul allemand, le Capitaine put aller déterrer son fanion et le retrouva intact.

Rosières, Lihons et Chaulnes 

Rosières, Lihons et Chaulnes (site danielsaillant.blogspot.com)

Les dernières journées d’Eloi ARVIN BEROD 

Récit des 24 au 26 septembre 1914 tiré du JMO du 14e BCAP :

JMO 1er août 1914 au 25 février 1915 : 26N 820/9 ; consulter les images p. 120 à 125. Transcription Bernard Théry, avril 2016 :
Le JMO nous apprend quEloi faisait partie de la 5e compagnie.

Le 14e BCAP débarque à Saint-Just-en-Chaussée [dans l’Oise, au N.E. de Beauvais] ; cantonne à Angivillers, au S.E. ; mouvement : Rubescourt [limite entre l’Oise et la Somme, au sud de Montdidier], Le Playrou, Beaucourt-en-Santerre, Lignières, Becquigny, Saulchoy-sur-Davenescourt, à 4 km au sud d’Arvillers, dans la Somme.

Jeudi 24 septembre 1914
« Le 14e quitte Saulchoy à 5 h avec une heure de retard par suite d’un défaut dans la transmission des ordres de la brigade. Il se rend à Vrély [dans la Somme, juste au sud de Rosières-en-Santerre, au S.O. de Lihons et Chaulnes] où il doit s’installer en cantonnement d’alerte avec le 7e bataillon de chasseurs.
Par Arvillers, Folie [lire Folies], Warvillers [3 communes au sud de Vrély], il atteint Vrély à 8 h. depuis 6h le canon se fait entendre au loin dans la direction de l’est.

A 13h 30 la Division fait connaître que l’ennemi attaque sur le front Estrées, Misery, Lihons. La division doit se rassembler dans la région Herleville, Vermandovillers, Lihons en vue d’une offensive ultérieure.
Les  7e et 14e bataillons de chasseurs restent à Vrély à la disposition du général Cdt le corps d’armée.

A 14H 30, départ pour Rosières-en-Santerre.
A 15h 45, le 14e est établi à Rosières, 3 Compagnies sont en 1ère ligne (6e, 1e, 2e) entre le passage à niveau sud du village et le chemin de Méharicourt [juste à l’est de Vrély]. Les 3 autres compagnies (5e, 4e, 3e) sont en 2e ligne à l’ouest de la Grande rue du village.

A 16h 15, on perçoit réellement la canonnade et la fusillade dans le N.E. le canon se fait aussi entendre vers le S.O.
A 17h 30, les 3e, 4e, 5e se portent à Chilly [au sud de Lihons et juste à l’est de Maucourt] pour appuyer la division de cavalerie qui est chargée de combler l’intervalle qui sépare le 4e Corps et la 27e Division. Tandis que la division de cavalerie s’installe à Fransart, la Chavatte, Fresnoy et Vrély pour y passer la nuit, le détachement sous les ordres du capitaine Devenne s’établit à Chilly où à 20h ½ il relève le 21e Dragons. La 4e est sur la lisière Est face à Hallu [juste à l’est de Chilly], la 5e sur la lisière S.E. face à Hattencourt [au S.E. de Chilly], la 3e en réserve. Pendant la nuit, ce détachement a repoussé deux attaques, une à 24h, l’autre à 2h 50.
Les compagnies de Rosières sont de leur côté ramenées vers 18h à la lisière Nord du village. La 1ère au-delà du chemin de fer sur la route de Vauvillers [au nord de Rosières], les deux autres vers la Gare.
A 21h, elles prennent dans le village des cantonnements d’alerte, installant des barricades et poussant des postes dans toutes les directions par lesquelles pourrait se présenter l’ennemi.

Vendredi 25 septembre 1914 En exécution de l’ordre d’opérations, le 14e Corps  doit prononcer une attaque. La 27e Division encadrée à droite par la 39e (37e ?) division, à gauche par la 28e en marche sur Marchélepot [au N.E. de Chaulnes et Lihons] a pour objectif Nesles [lire Nesle , au S.E de Chilly].
Trois compagnies du bataillon (3e, 4e, 5e) sous les ordres du capitaine Devenne restent aux ordres du Général Cdt la 54e Brigade qui doit s’avancer sur Nesles par le Sud de la voie ferrée.
Les trois autres compagnies (1e, 2e, 6e) avec le chef de bataillon demeurent en réserve à Rozières à la disposition du général de division.

Rozières, Maucourt, Chilly, Hallu, Chaulnes  

Rozières, Maucourt, Chilly, Hallu, Chaulnes (site pages14-18.mesdiscussionn.net, page chaulnes, Vermandovilliers, sujet 9487)

6h 10 Ordre est donné aux 3 compagnies de réserve de rejoindre le poste de commandement du général de division à la bifurcation à 400 m Ouest du village de Lihons.
7h Deux de ces compagnies (2e et 6e) s’installent dans le petit bois carré au N.O. du poste de commandement du général de division, l’autre (1e) dans le fossé de la route entre le bois e tle village de Lihons.
9h Quelques balles sont venues tomber sur le bois et autour du général de division ; ordre est donné à la 1ère Compagnie d’attaquer le cimetière de Lihons et le petit bois situé au N.O.
9h ½ Une légère accalmie se produit dans la fusillade, mais des obus tombent sur le bois.
11h Sur la demande d’un commandant d’artillerie de la 28e division, une section de la 6e est envoyée en soutien d’artillerie.
11h 40 La 2e Compagnie est envoyée en soutien du bataillon Poussel du 140e à Lihons.
13h Cette compagnie s’établit au-delà de Lihons sur la route de Chaulnes dans les fossés de la route face au Nord.
15h Elle aide par son feu et l’envoi de reconnaissances un bataillon du 52e d’infanterie qui essaie de progresser dans la direction de Chaulnes.
16-17h Elle subit un bombardement terrible dirigé sur Lihons et en particulier sur la lisière Est du village.
18h L’ennemi prononce une vive attaque sur Lihons. La 2e résiste vigoureusement dans les fossés de la route, secondée à sa gauche par les fractions du 52e.
20h L’ennemi a échoué dans son attaque, il est repoussé aussi bien vers la route de Chaulnes que vers le cimetière de Lihons. Mais la fusillade est encore tellement vive autour du village que le général de division maintient jusqu’à la nuit les deux compagnies de réserve du bataillon sur leurs emplacements de la matinée.
21h La 2e compagnie reçoit l’ordre de rejoindre les deux compagnies de réserve à Rozières où celles-ci s’installent au cantonnement à 20h 30.
Mais la nécessité de remettre de l’ordre dans les unités qui viennent de livrer à Lihons un combat acharné, l’obligation pour la 2e compagnie d’attendre d’être relevée par une compagnie du 140e font que cette compagnie ne rejoint Rosières que vers 23h.
Pour la nuit, les 3 compagnies sont installées en cantonnement d’alerte. De plus, elles gardent toute les voies d’accès et doivent à l’occasion occuper les tranchées dont une partie a été construite par la compagnie divisionnaire du Génie ; la 1e compagnie occupe la lisière N. ; les 6e et 2e compagnies la lisière Est.

Quant au détachement de Chilly, il a eu à subir de 4h 30 à 12h de violentes attaques allemandes parties de Hallu et de Fransart. La pénurie de munitions, le manque de soutien de l’artillerie obligent à évacuer Chilly. Avec la (illisible) cycliste de la division de cavalerie, il vient occuper la lisière Est de Méharicourt. A 14h, ce détachement ( ?) et (illisible) cycliste reprennent le village de Maucourt.

Etat nominatif des officiers, sous-officiers, caporaux et chasseurs tués, blessés ou disparus le 25 septembre 1914 (…) Total des pertes : 13 tués, 48 blessés, 27 disparus.

Carte de Lihons et Chilly 

Carte de Lihons et Chilly (site pages14-18.mesdiscussionn.net, page chaulnes, Vermandovilliers, sujet 9487)

Samedi 26 septembre 1914 A 3h, l’ordre du corps d’armée prescrit de reprendre les attaques au point du jour. Les 3e, 4e, 5e compagnies restent avec la 54e brigade, les 1e, 2e, 6e sont toujours en réserve et doivent occuper le même emplacement que la veille à l’ouest de Lihons.

A 5h 30, les 1e, 2e, 6e compagnies gagnent leurs emplacements et se retranchent solidement vers le bois et dans des tranchées au sud de ce bois.
Durant la matinée, l’artillerie allemande envoie quelques obus. Les tranchées occupées par la 1e compagnie sont un instant vivement canonnées par une batterie de 77.

11h 30 Sur le conseil du Général Cdt le Corps d’armée, le Général de Division reporte la réserve légèrement en arrière.

12h 15 Les 3 compagnies sont installées dans des carrières bordant au sud la route de Lihons à Harbonnières à 2km 500 ouest de Lihons.
Le bataillon prend connaissance de l’ordre suivant adressé par M. le Général Joffre :
« Grand Quartier Général à IIe armée n° 7426. La bataille décisive est engagée dans des conditions qui sont favorables. L’ennemi a poussé tous ses corps en ligne et va chercher par de violents efforts à échapper à l’étreinte de nos armes.
Le Général en chef compte qu’à cette heure d’où peut dépendre le succès de la Campagne chacun mettra une fois de plus une énergie indomptable à refouler l’ennemi, le chasser de ses lignes et assurer la victoire à nos armes.
 
» Signé Joffre

16h La journée est relativement calme sur le front et par suite la réserve n’est nullement inquiétée.

19h 15 Les compagnies de réserve rentrent au cantonnement à Rozières. A peine sortent-elles des carrières qu’elles sont accueillies par de nombreux coups de canon venant de la direction de Vermandovillers.
Durant la journée, le détachement formé des 3e, 4e et 5e compagnies a organisé solidement par des tranchées la lisière Est de Maucourt face à Chilly ; il a eu à subir un violent bombardement de la part de l’artillerie allemande »

Etat nominatif des officiers, sous-officiers, caporaux et chasseurs, tués, blessés ou disparus le 26 septembre : p. 125, 7e ligne : « Arvin Berod, tué, 5e compagnie » : Voir fac-similé sur notre page « Correspondance de Raymond Perroud et Anna Buttoudin sur la mort de son fiancé Eloi »

Passerands du 14e Bataillon de Chasseurs à Pied

BOUCHARD François Auguste, classe 1896, territorial rappelé en août 1914 au 107e RTI ; passé au 14e Btn de Chasseurs le 17 février 1915, aux armées du 20 février 1915 au 20 juillet 1915 ; blessé le 20 juillet 1915 au combat du Linge en Alsace par balle de fusil au pied droit ; perte des 4e et 5e orteils ; classé services auxiliaires le 15 novembre 1915 (Plus d’infos dans Vatusium n° 18, p. 42-43).

RAPIN Michel Eugène, classe 1916, incorporé au 14e Btn de Chasseurs le 8 avril 1915 ; passé au 11e Btn de Chasseurs le 31 juillet 1916, blessé par un coup de feu à la cuisse droite reçu le 16 août 1916 au combat de Maurepas dans la Somme. Hôpital 13 de Bourbourg du 29 août au 30 septembre ; rejoint sa compagnie le 30 septembre 1916. Passé au 51e Btn de chasseurs le 6 novembre 1916. Cité à l’ordre du 11e Bataillon n° 168 du 30 août 1917 : « Bon chasseur, a été blessé le 16 août 1916 à Maurepas en faisant bravement son devoir. » (Plus d’infos dans Vatusium n° 19, p. 17 à 20).
Cité à l’ordre du 51e Bataillon de chasseurs n° 181 du 18 janvier 1918 : « Grenadier d’élite d’une bravoure splendide, a fait à coup de grenades le vide dans la position ennemie et grâce à son attitude décidée, a permis l’occupation de la tranchée. » Croix de guerre avec 2 étoiles de bronze. Passé dans la réserve au 20e RI le 18 avril 1919.  Mis en congé illimité de démobilisation le 9 oct. 1919. Décédé le 14 octobre 1926 aux Plagnes, à 30 ans. (Plus d’infos dans Vatusium n° 19, p. 34 à 38).

Sources et sites à consulter pour en savoir plus :

Documents de la famille Buttoudin, Passy, hameau des Plagnes et de Roger Woehrlé, fils de Lucienne Buttoudin, la sœur de Marie, Anna et Joseph

Fiche matricule aux ADHS

Site chtimiste 

site CRDP de Strasbourg, page Première Guerre mondiale, guerre en 14 http://www.crdp-strasbourg.fr/data/histoire/1GM_combats/guerre_en_14_1.php?parent=61

Historique du 14ème Bataillon Alpin de Chasseurs à Pied (site alpins.fr)

JMO du 14e BCAP (Mémoire des hommes Journaux des unités 1914-1918)

site pages14-18.mesdiscussionn.net, page Chaulnes, Vermandovilliers, sujet 9487  http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/forum-pages-histoire/chaulnes-vermandovilliers-novembre-sujet_9487_1.htm

site danielsaillant.blogspot.com, carte de la Somme  http://danielsaillant.blogspot.com/2015_02_01_archive.html

 Fiche décès sur le site Mémoire des hommes, Base de données des Morts pour la France de la Première Guerre mondiale (ne pas taper le trait d’union dans le nom de famille)

Monument aux morts de Praz-sur-Arly : Site memorialgenweb.org (tous les monuments aux morts)

Voir nos pages sur
– Passy pendant la grande Guerre
en particulier
 notre page consacrée au monument aux morts de Passy.

– Passy de 1920 à nos jours.

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