Culture, Histoire et Patrimoine de Passy

Bibliothèque de ChePP : achats 2014

Written By: BT

Comme en 2013, notre association a acheté des livres qu’elle met à la disposition des Passerands à la Bibliothèque de Passy-Chedde.

Voici les nouveaux titres achetés en 2014. Liste et présentation des ouvrages à la fin de cette page :

Quelques-uns des livres achetés en mai 2014

Quelques-uns des livres achetés en mai 2014

Suite des achats :

Suite des achats de livres 2014

Suite des achats de livres 2014

 

Derniers achats de 2014

Derniers achats de 2014

Dernier livre acheté en 2014

Dernier livre acheté en 2014

Voir ci-dessous liste et présentation des ouvrages.

Etiquette CHePP placée sur la page de garde des livres achetés :

Page de garde des livres achetés par ChePP

Page de garde des livres achetés par ChePP

Ce livre est la propriété de l’association

« Culture, Histoire et Patrimoine de Passy »

qui l’a confié à l’association

« Culture et Bibliothèque Pour Tous »

pour qu’il soit mis à la disposition des lecteurs

de la bibliothèque de Passy.

Contact CHePP : 40 Ronde des Vardaches

04 50 78 37 36

  www.histoire-passy-montblanc.fr

 Voir à la fin du livre la présentation

des numéros de la revue VATUSIUM

3ème de couverture des livres achetés par CHePP : couvertures des Vatusium parus

3ème de couverture des livres achetés par CHePP : couvertures des Vatusium parus

Livres régionaux : ACHATS de CHePP en 2014

Histoire ancienne

– Découvertes gallo-romaines en Rhône-Alpes, Adrien Bostmambrun, La Taillanderie, 2012.

Aqueducs, thermes, amphithéâtre, odéon, stèles, mosaïques, voies romaines, trion, … termes évoquant une époque figée dans l’insondable complexité de l’histoire gallo-romaine. Et si pour une fois, nous faisions travailler notre imaginaire en réinventant dans leur époque bénie ces sites désolés ? C’est ce que ce guide s’applique à proposer, redonner vie aux ruines qui s’offrent, décharnées et amputées de leur fonctionnalité, dans les paysages de la région Rhône-Alpes.
Devenons Lucius Munatius Plancus et créons Lugdunum, nommons nous Cybèle ou Livie et laissons-nous vénérer dans leurs lieux de culte. Et si nos ancêtres étaient des Campanii au 1er siècle après J.-C. ? Alors baladons-nous en Rhône-Alpes, marchons dans leurs pas et construisons à nouveau ce que le temps et l’Homme n’ont pas pu, ni su conserver dans leur état d’origine. Empruntons les voies romaines, respirons les atmosphères de ces lieux originels, approprions-nous l’idée de ce retour vers une civilisation inventive et glorieuse qu’Adrien Bostmambrun a su parfaitement décrypter.
De Lyon à Aix-les-Bains, de Vienne à Die en passant par Moingt et sans oublier Anse, Alba-la-Romaine et Grenoble, prenez le temps de découvrir à nouveau vos racines.

– La Savoie du peintre de Gubernatis (1828), l’histoire en Haute-Savoie, André Palluel-Guillard, Société savoisienne d’histoire, 1997.

Qui connaît Giovanni Battista De Gubernatis qui a peint la Savoie avec talent et amour en 1828, juste avant les premières atteintes de la révolution industrielle ? Symbole de la fraternité trop longtemps niée entre le Piémont et la Savoie, De Gubernatis mérite mieux que l’oubli dans lequel il est tombé en Piémont et que l’indifférence que lui ont vouée les Savoyards. Ce brillant aquarelliste, romantique et moderne en même temps, a été un des meilleurs peintres des États de Savoie au début du XIXe siècle. Il n’est que justice de lui rendre enfin l’audience qu’il mérite en dépassant l’éloignement de la Galerie d’art moderne de Turin où ses œuvres sont conservées. C’est la fierté de L’Histoire en Savoie de reproduire en couleurs dans ce numéro exceptionnel trente images de la Savoie de 1828, précédées d’une introduction d’André Palluel-Guillard.

– Impatiences en Savoie à la veille de la Révolution, Société savoisienne d’histoire et d’archéologie, n° 116.

Impatiences en Savoie réunit des articles du professeur Jean Nicolas dont les travaux ont profondément renouvelé la connaissance de la Savoie d’ancien régime. Ces articles, inédits, remaniés ou difficiles à trouver aujourd’hui, emmènent le lecteur dans les décennies qui précèdent la Révolution et exposent les tensions qui traversent déjà la société savoyarde.

Histoire sociale, qui met en relation les élites et les gens de « basse condition », s’appuyant sur l’observation des faits qui seule peut permettre d’en pénétrer le sens et leur conférer de la profondeur historique, cette approche de la Savoie « prérévolutionnaire » est toujours baignée d’une connaissance intime de la culture, des catégories et des motivations des acteurs. Lorsque la Révolution arriva en Savoie, elle put trouver, sinon un terrain favorable, du moins un terrain ameubli et préparé. La « petite histoire » dut alors se confronter à la « grande » : à certains égards, la Révolution française, dans toutes ses ambiguïtés, commence en Savoie dès avant l’arrivée des troupes françaises en septembre 1792. La Société savoisienne d’histoire et d’archéologie est heureuse de présenter au lecteur ces fragments de l’histoire d’une période sur laquelle les articles ici rassemblés font référence.

Jean Nicolas, professeur émérite de l’Université Paris VII Denis Diderot, est l’auteur de nombreux articles et ouvrages sur l’histoire de la Savoie parmi lesquels La Savoie au XVIIIe siècle – Noblesse et Bourgeoisie, La vie quotidienne en Savoie aux XVIIe et XVIIIe siècles – La Révolution française dans les Alpes, Dauphiné et Savoie.

– Victor Amédée II, Société savoisienne d’histoire et d’archéologie.

A la veille du cent cinquantième anniversaire de la réunion de la Savoie à la France, nombre de Savoyards ignorent l’existence de ce petit Etat à cheval sur les grandes Alpes. Au XVIIIe siècle, c’est un Etat pauvre, peuplé de montagnards et de paysans pauvres pour la plupart, survivant grâce à l’émigration. A sa tête un jeune duc, sous tutelle tantôt de son suzerain l’empereur, tantôt son redouté puissant voisin, Louis XIV.
Comment a-t-il pu se doter d’une administration – ancêtre de la bureaucratie moderne – bien plus efficace que celles de la France et de l’Espagne et d’une armée avec laquelle il fallut bientôt compter en Europe? Grâce à la ténacité et au génie organisateur de son souverain, Victor-Amédée II, ce duc qui, apportant la couronne royale à la Maison de Savoie, transformera ses Etats en un royaume.
Comment ce petit Etat, véritable défi à la géopolitique, a-t-il pu dès l’aube du XVIIIe siècle “jouer dans la cour des grands” avec la France, l’Autriche, l’Espagne, l’Angleterre et les Pays-Bas ? C’est grâce à l’habileté politique, à la ruse et au cynisme de ce même Victor-Amédée II, surnommé le “renard des Alpes” par les contemporains.
Admirateur de Louis XIV, soucieux de bel urbanisme pour sa capitale Turin, Victor-Amédée II est doublement un précurseur. Monarque absolu, sa vision politique annonce l’etat autoritaire, sinon providentiel. Premier roi de Piémont-Sardaigne, prêt à abandonner la Savoie pour gagner la Lombardie, Victor-Amédée II inaugure la lignée des personnalités qui ont tissé l’Unité italienne.
Sur le plan privé, la vie de cet homme complexe et secret, se colore en drame “shakespearien” teinté d’épisodes vaudevillesques !
Cette passionnante histoire nous est contée par la plume alerte et tonique du professeur Geoffrey SYMCOX de l’Université de Californie à Los Angeles, spécialiste de l’histoire moderne européenne. Il nous décrit de façon impartiale la vie et le règne de Victor-Amédée II. En regardant cette époque avec des yeux savoyards, notre vue de l’Europe de Louis XIV s’en trouve transformée.
Un chef-d’œuvre de biographie de souverain.

Histoire du XXe siècle

– Vivre libre ou mourir.  Plateau des Glières, Haute-Savoie, 1944, Association des Glières, 2014.
Dès l’automne 1944, les “Rescapés des Glières”, comme ils se sont eux-mêmes identifiés, se sont constitués en association. Il s’agissait, d’abord, de marquer leur fidélité et leur solidarité envers ceux de leurs camarades du maquis qui avaient laissé la vie dans leur combat pour la liberté et envers leurs familles. En témoigne la réalisation de ce qui allait devenir la Nécropole Nationale des Glières de Morette, près de Thônes. Mais il s’agissait aussi de promouvoir les valeurs dont ils se sentaient porteurs, en ce moment où la France était à reconstruire. C’est pourquoi ils ont immédiatement mis en chantier, pour une parution en 1946, un ouvrage collectif intitulé “GLIÈRES Haute-Savoie 31 janvier-26 mars 1944″ et sous-titré ” Première bataille de la Résistance “. Il est très significatif que le premier chapitre du livre soit intitulé “Le sens de Glières”. D’emblée, les auteurs voulaient ainsi mettre leur expérience vécue et le sacrifice de leurs camarades en perspective de valeurs pérennes. Au-delà des témoignages, frémissant de l’intensité d’un engagement encore en cours lors de cette rédaction, voilà qui donne à cet ouvrage une dimension sans égale, plus actuelle que jamais. Dans la pénurie de l’immédiat après-guerre, les Rescapés avaient fait imprimer l’ouvrage en Suisse, sans avoir recours à un diffuseur. À quelques aménagements de forme près, il était resté en l’état jusqu’à ce jour, sans que se démente son succès auprès des visiteurs du site de Morette ou du plateau des Glières, seuls lieux où il était en vente. Le 70e anniversaire veut marquer un jalon important dans la transmission de l’héritage de Glières et de la Résistance en Haute-Savoie. Ce livre en est l’un des éléments les plus significatifs. C’est pourquoi le voici réédité, de sorte qu’il soit accessible en librairie, de sorte aussi qu’il soit enrichi à la fois par les mises en perspective que permet un recul de sept décennies et par des annexes qui pourront contribuer à une meilleure connaissance des faits.

– Le maquis de Glières : Mythe et réalité, Claude Barbier, 2014.

La légende affirme que le plateau de Glières aurait été le lieu de la “première bataille de la Résistance”. Situé au coeur de la Haute-Savoie, Glières servit, il est vrai, de refuge aux réfractaires du STO, puis devint un lieu de réception pour les parachutages entre le 31 janvier et le 26 mars 1944. Après que Vichy eut essayé, mais en vain, de liquider cette concentration maquisarde, la Wehrmacht prit les choses en main. S’ensuivit une féroce répression, conduite par les policiers allemands de la Sipo-SD. Les plus hautes personnalités de l’Etat n’hésitent pas à se déplacer dans ce haut lieu de la Seconde Guerre mondiale. Mais à quoi rendent-elles hommage ? La bataille a-t-elle vraiment opposé une division allemande à un demi-millier de maquisards ? Les archives enfin disponibles permettent d’éclairer sous un jour neuf cet épisode et de remanier la trame légendaire véhiculée par une littérature plus encline à privilégier la mémoire que l’histoire. Et par-delà les événements de Glières, cette recherche exemplaire amène à réfléchir, dans un cadre plus large, aux maquis ainsi qu’à leur environnement, à définir leurs forces mais aussi leurs faiblesses.

La vérité vraie sur le procès de la milice et des miliciens au Grand Bornand du 19 au 24 août 1944, Michel Germain, 2012.
Il faut laisser les morts enterrer les morts. Haute-Savoie, août 1944. La guerre est finie ? Ce département s’est libéré tout seul par ses propres forces, celles du Maquis. Voici donc un pays déchiré, meurtri par ses luttes fratricides. Car ici, rien ne peut faire oublier qu’il s’agit bien d’une guerre civile. Une fois chassé l’Occupant nazi, l’heure de vérité a sonné. La “saison des loups” s’achève par les temps forts de l’Epuration. Au Grand-Bornand, 76 miliciens vont être fusillés le 24 août, condamnés par une cour martiale, hâtivement constituée. L’histoire a tranché ? Non ! Car depuis ce procès emblématique, des forces obscures œuvrent à ressusciter les fantômes de Vichy, de la Collaboration. Comme un travail de mémoire mené à l’envers ? Pour soulever le linceul sur un cortège de gisants enterrés à la va-vite dans un cimetière de miliciens… Quelques croix parsemées sur un coin de prairie pour ceux qu’on voulait croire ensevelis pour l’éternité dans l’immense nuit noire de la Milice. Le point de vue de l’Editeur.

– La montagne d’Aon, soit Véran, et événements, personnages et étymologie autour de Sallanches,  Henri Debiol, éd. Fized, 2014.

Les monuments aux morts de la Haute-Savoie, coll. Pour Mémoire. Mémoire de la Grande Guerre, Christian Sorrel, éd. Fontaine de Siloé, 2014.

Des morts par milliers… Morts familiers ou morts anonymes… Héros ou victimes… Comme la France entière, la Haute-Savoie se couvre de monuments commémoratifs au lendemain de la Grande Guerre. Modestes ou imposants, ordinaires ou originaux, tous expriment la souffrance individuelle et collective. Mais leurs moyens sont variés et cette variété dessine une géographie des sensibilités politiques et religieuses de la Haute-Savoie contemporaine. Canton après canton, commune après commune, Christian Sorrel invite avant tout le lecteur à voir les monuments, tout en lui proposant des clés pour les lire. Une manière originale d’appréhender la Grande Guerre en partant du regard des contemporains que la mémoire des combattants, monumentale ou privée, a aidés à survivre et à revivre. Le point de vue de l’éditeur

Patrimoine populaire

Le parler des Savoies, et ses histoires à rire. Savoie et Haute-Savoie, Dominique Abry-Deffayet  Dictionnaire et encyclopédie, C. Bonneton, 2013.

Depuis plusieurs siècles, le français et les dialectes savoyards cohabitent. Les Savoyards ont, de ce fait, introduit dans leur français des régionalismes, sabaudismes et autres savoyardismes. Ce français régional de Savoie et Haute-Savoie a donc ses caractéristiques propres, phonétiques, grammaticales et lexicales. Les quelque 600 mots de cet ouvrage, obtenus par une enquête de plusieurs décennies auprès d’informateurs de tous âges, traduisent les thématiques pour lesquelles le Savoyard a su enrichir le vocabulaire français qui n’avait pas cette culture alpine. Il était, par conséquent, essentiel de présenter en même temps que le lexique alphabétique, des fiches thématiques et des contes et histoires à rire, véritables petites perles du patrimoine linguistique savoyard.

– Le terroir savoyard et ses traditions, Régis Déperraz, CPE, 2014.
Nous lançons ici une invitation au voyage en forme d’hommage aux terres hospitalières célébrées par la chanson, à la recherche de l’âme du petit Savoyard. Consacrer douze chapitres aux multiples facettes des deux départements de Savoie, c’est le moins que l’on puisse faire pour rendre compte de leur richesse et de leur diversité, côté lac et côté montagne, des activités traditionnelles aux stations de ski, des vaches aux fromages, du vin blanc à la fondue.
D’un ensemble aussi contrasté émane une étonnante impression d’unité, celle d’anciennes provinces qui ont su évoluer avec leur temps, celle d’un peuple adapté à son environnement, celle d’un mode de vie typique solidement ancré dans les mentalités.

– Montagnards d’antan – A travers la carte postale ancienne, Franck LecoutreLaurence Janin, 2013.

Au fil de plus de 400 cartes postales anciennes, Franck Lecoutre et Laurence Janin racontent le monde “d’en haut” à la Belle Epoque. Le tournant du XIXe au XXe siècle est une période charnière pour les montagnards, qui voient leurs territoires changer de manière radicale. Les innovations techniques – trains, tunnels et même les premiers téléphériques – désenclavent vallées et versants autrefois sauvages et craints.
La montagne commence à attirer les touristes avides d’air pur, de sensations vertigineuses et de glisse en hiver. Le chasseur devient guide, le paysan hôtelier et, même si les troupeaux continuent de monter à l’alpage chaque printemps, le mode de vie séculaire des montagnards se transforme et s’adapte à la modernité.

– La Haute-Savoie d’antan : la Haute-Savoie à travers la carte postale ancienne

Laurence Janin, 2009. 

Regroupant près de 500 cartes postales du début du siècle, la Haute-Savoie d’Antan est une invitation au voyage dans le temps, qui offre aux Hauts-Savoyards de redécouvrir leur région il y a plus d’un siècle. L’ouvrage s’articule autour de huit chapitres : Les fruits de la terre – Energie, industrie et manufacture – Transports, chemins de fer, douanes et péages – Les grandes cités – Vie quotidienne – Foi, fêtes et patriotisme – La montagne – Thermalisme et tourisme.

Géographie

Lacs et cascades de Haute-Savoie, Jean-Marc Lamory, Libris, 2008.

Soixante quatorze itinéraires pour 48 sites sélectionnés proposent au lecteur d’aller à la découverte des plus beaux lacs de Haute-Savoie et des plus belles cascades de montagne.
A qui appartient le Mont-Blanc ? Paul Guichonnet et Christian Mollier, La Fontaine De Siloé, 2013.
Ce livre d’histoire doit se lire comme un roman policier, au suspens ininterrompu. L’intrigue repose sur la recherche mouvementée de tracés de frontières fluctuants, effacés, aberrants, construits, “reconstruits”. Oui ! Dans le massif du Mont-Blanc, la frontière entre la France et l’Italie obéit plus aux accidents de l’Histoire qu’aux accidents du relief ! Et l’enjeu n’est pas mince : puisqu’il s’agit de rien de moins que la propriété de l’arête sommitale du plus haut sommet européen… Le Mont-Blanc, sommet mythique ! Qui suscite toutes les convoitises, aiguise les plus gros appétits, nourrissant et stimulant les concurrences d’Etats comme les rivalités de communes. Nos deux inspecteurs, Paul Guichonnet, le grand historien de la Savoie et des Alpes, et Christian Mollier, le guide renommé de Chamonix, doublé d’un écrivain de montagne, mènent l’enquête. Rien ne manque à ce thriller haletant : ni les faux historiques, ni les usurpations, ni les disparitions mystérieuses de documents compromettants… Pas davantage les violations de traités internationaux, les décisions administratives ubuesques, les stipulations “en oukase” de commissions fantômes. Au Mont-Blanc, la nature propose mais le géographe dispose. Alors à qui pourrait-il appartenir, ce sommet sans rival ? Cet ouvrage trace la piste et déroule pour nous le cours de l’Histoire, dans tous ses méandres, filaments et linéaments. De 1860 à 2013, chapitre après chapitre, suivez le guide dans sa marche d’approche de la vérité : “Le Mont-Blanc est la propriété indivise et mitoyenne de la France (commune de Chamonix) et de l’Italie (commune de Courmayeur)”.

Livre pour enfants

Les mini-sapiens en Haute-Savoie, Elisabeth Charmot (Auteur) Album jeunesse dès 6 ans L’astronome, 2006, Le Dauphiné.
Album jeunesse dès 6 ans . Balade à travers la Haute-Savoie… Comptines pour les enfants du pays et les petits touristes. “… c’est tout un univers frais et craquant à souhait que même les grands découvrent avec plaisir”
Le Messager. “Pour le lecteur, c’est un régal, un véritable plaisir, une invitation à s’attarder pour mieux contempler…” Le Dauphiné.
“Cette manière de faire découvrir le département aux enfants à travers des poèmes-comptines et des dessins a enthousiasmé le public”

Bibliothèque de C.H.e.P.P. : liste des livres mis à disposition pour des recherches …  : 

Bibliothèque de C.H.e.P.P. : achats 2013
Pour consulter la liste des 400 ouvrages disponibles à la bibliothèque de Passy, voir notre page HISTOIRE ET PATRIMOINE au rayon régional de la bibliothèque de Passy.

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