Culture, Histoire et Patrimoine de Passy

Des Passerands dans l’aviation en 14-18

Written By: BT

Lire notre revue Vatusium n° 19, 2016 « Les Passerands dans la Grande Guerre » 2e partie : 1916 à 1919 (parution août 2016).

Cette page BONUS complète notre article « Mourir à Monastir » publié dans Vatusium n° 19, pages …

Pourquoi une aviation ?
« Avant la guerre, Foch avait déclaré devant un journaliste que l’aviation militaire n’avait aucun avenir : « Tout ça, voyez-vous, c’est du sport, mais pour l’armée c’est zéro. »
En 1914, elle avait permis d’effectuer d’utiles missions de reconnaissance durant la bataille de la Marne, mais guère davantage. »
A Verdun en 1916, toutefois, « Pétain comprenait qu’il ne pouvait espérer la victoire sans jouir d’une supériorité aérienne : « Rose, balayez-moi le ciel ! Je suis aveugle ! » dit-il au commandant Tricornot de Rose deux jours après son arrivée à Souilly. » (Paul Jankowski, 21 février 1916. Verdun, coll. « Les journées qui ont fait la France », NRF, Gallimard, 2013, p. 158 ; livre CHePP disponible à la bibliothèque de Passy)

Lt André Louis Brault, pilote et commandant de l’escadrille MF 14 [Maurice Farman]
de mars 1915 au 1er juin 1916,
aux commandes d’un MF 11 à moteur Renault de 80 HP.

L’observateur présente un appareil de prise de vue de 0,50 m de focale

Lt André Louis Brault, pilote et commandant de l'escadrille MF 14 (site albindenis)

Lt André Louis Brault, pilote et commandant de l’escadrille MF 14 (site albindenis)

 Quelques soldats de Passy ont servi dans l’AVIATION pendant la Grande Guerre. Il s’agit, par ordre d’ancienneté, de Joseph Henri LAPORTE, classe 1892 ; Fernand DECLUNY, classe 1893 ; Charles Albert MALLINJOUD, classe 1907 ; Jean RASERA, classe 1910.

ON TROUVE UN PASSERAND DANS L’AVIATION DES 1915

Laporte Joseph Henri, territorial de la classe 1892, maintenu services auxiliaires en décembre 1914 est passé au 5e Bureau de recrutement de la Seine le 15 mai 1915 ; il est  affecté ensuite au  2e groupe d’aviation le 15 décembre 1915, puis au 1er groupe d’aviation le 1er janvier 1917. Mis en congé illimité de démobilisation le 10 janvier 1919 par le 1er Groupe d’aérostation St-Cyr (S.et O.), il se retire à Levallois-Perret, Seine. Campagne contre l’Allemagne du 10 décembre 1915 au 10 janvier 1919.

LE PASSERAND CHASSEUR ALPIN DEVENU PILOTE D’AVION EN 1917

 (Charles) Albert Mallinjoud, classe 1907, boulanger à Passy, recensé à Passy Marlioz en 1911 (prénom Albert), brigadier rappelé au 13e Rgt de Chasseurs le 2 août 1914 est nommé dans l’aviation le 23 février 1917.
Passé à l’Ecole d’aviation de Chartres le 9 mars 1917, il finit son entraînement 14 avril 1917 ; notes : Bien.  Il part de Chartres le 2 mai 1917.
Premier vol le 27 mai 1917 et 1er vol seul le 16 juin 1917 ; brevet de pilote le 15 juillet 1917 n° 7505 : Bon pilote ; 1ère épreuve B.M. [Breguet Michelin] le 12 juillet 1917 ; dirigé sur Châteauroux le 17 juillet 1917, école de Châteauroux, 1er vol le 29 juillet 1917.
Parti au G.D.E. (Groupe de Divisions d’Entraînement) le 14 août 1917 ; parti à l’escadrille AR 253 et pilote le 4 janvier 1918, Escadrille G.D.E.; nommé maréchal des logis le 15 juillet 1918 ; arrivé au dépôt du premier groupe à Dijon le 9 avril 1919 ; 2e Rgt d’Aérostation. Citation à l’ordre de la Brigade ; démobilisé le 16  juillet 1919.

L’escadrille AR 253 d’Albert Mallinjoud en 1918

Dénomination des escadrilles : les premiers textes d’avant-guerre mentionnent clairement la désignation des unités par une abréviation du nom du constructeur de leurs appareils (site traditions-air.fr)

En l’occurrence, l’escadrille AR 253 est équipée d’Avions Renault (site horizon14-18.eu/abreviation-armee-de-l-air)

Bombardier à hélice propulsive Breguet Br.M5 largement utilisé pour des missions de bombardement de nuit en 1916-1917. 
Développé depuis le Br.M4, il était équipé du moteur Renault de 220 CV

Bombardier à hélice propulsive Breguet Br.M5 (site jn.passieux.free.fr)

Bombardier à hélice propulsive Breguet Br.M5 (site jn.passieux.free.fr)

« Renault a été le premier constructeur d’automobiles à étudier et produire des moteurs légers dédiés à l’aéronautique. Pendant le Salon de l’auto, en novembre 1907, Renault présente, dans une dépendance du Salon, un moteur 8 cylindres de 45 CV qui, fourni avec un refroidissement par l’air, avait alors le rapport poids/puissance le plus favorable. Les constructeurs d’avions accourent en masse.
Entre 1908 et 1914, 18 constructeurs d’avions faisaient appel à Renault pour motoriser environ 49 différents types d’avions. Les noms de quelques constructeurs : Farman, Breguet et Caudron. Les moteurs étaient robustes, souples et économiques. Raison de plus pour équiper 2 des 5 escadrilles, fondées en 1912, avec des moteurs Renault.
Ces escadrilles étaient utilisées comme postes d’observation afin de diriger plus précisément les tirs d’artillerie.
Les avancées technologiques apparues pendant les premiers mois de la première guerre mondiale amenèrent l’état-major général à confier une nouvelle tâche aux « forces aériennes » : rechercher les positions de l’ennemi et les bombarder. Pour ces missions, on avait besoin de moteurs plus puissants. Les moteurs Renault, construits à cette fin en grande quantité, passeraient de 220 CV au début de la guerre, à 300 CV et enfin 600 CV à la fin du conflit. » (site renaultoloog.nl)

Farman Renault MF7

Farman Renault MF7 (Coll. Daniel Brackx, site Belgian-wings.be)

Farman Renault MF7 (Coll. Daniel Brackx, site Belgian-wings.be)

L’escadrille AR 253 a été créée le 18 novembre 1917 par dédoublement de l’escadrille AR 70 et affectée au 20e Corps d’Armée avec elle.
Elle combat d’abord en Lorraine à Villers-les-Nancy. En janvier 1918, on la retrouve en Argonne à Osches, en avril, (voir « Les terrains d’aviation de Lorraine : Secteur de Verdun – Argonne » sur le site jmpicquart)

puis dans l’Aisne et la Marne, 13 avril 1918 ferme de Moras, 20 avril Boisemont-Suzay [à l’ouest de Cergy-Pontoise] ; en mai dans la Somme, 5 mai Fienvillers [au S.O. de Doullens], 18 mai Doullens-Haute-Visée [entre Arras et Abbeville], puis l’Oise 2 juin, Boisemont-Suzay, 3 juin  Champlieu [au sud de Compiègne], 11 juin Vérines, 26 juin Le Plessis-Belleville [au S.E. d’Ermenonville].
En septembre 1918, dans l’Aisne et en Champagne, 14 août Osloy, 22 septembre Chamentray [à l’ouest de Meaux], (ferme Reddy, appelé aussi Coulonges, dans l’Aisne, au sud de Fismes).

Voir site anciens-aerodromes.com.

Octobre 1918 : repos.

Le 12 octobre, Avricourt [à l’est de Lunéville] Bataille de la Serre [du 20 au 30 octobre 1918], puis poussée vers la Meuse, 19 octobre Tergnier [au sud de St-Quentin].

Du 17 novembre 1918 au 4 avril 1919, date de sa dissolution : dans l’OiseLe Plessis-Belleville, ferme d’Alger, 19 mars-1 avril Pars les Romilly (DMA 1). Dissoute le 4 avril 1919. (Source : sitetraditions-air.fr.

LE PASSERAND JEAN RASERA AU 2e GROUPE D’AVIATION 

RASERA Jean, classe 1910, né le 18 décembre 1890 à Feissons-sur-Briançon, cocher à Passy, fils d’Augustin Rasera et de Joséphine Rouge domiciliés à Passy Chedde. Recensé à Passy au hameau de St-Denis en 1911. Rappelé au 14e Escadron du train en août 1914 ; passé au 2e Rgt d’Artillerie le 9 mai 1916 ; passé au 2e Groupe d’aviation le 12 mai 1916 : Service aéronautique de l’armée d’Orient le 11 juin 1916, Escadrille F399. Ambulance pour hématome région lombaire du 29 juillet au 16 août 1916 en Serbie ; reconnu malade de paludisme et bronchite le 15 janvier 1917 à Mikra, dirigé sur hôpital de Salonique, rapatrié sanitaire le 9 février 1917. Campagne en Orient du 11 juin 1916 au 8 février 1917.
Passé au 3e Groupe d’aviation le 1er juillet 1917 ; passé au 58e Rgt d’artillerie de campagne le 26 juillet 1917, au 118e Rgt d’artillerie lourde le 9 janvier 1918, au 2e Rgt d’artillerie coloniale le 1er mars 1918, au 18e Escadron du train le 4 février 1919 ; démobilisé le 12 août 1919.

L’escadrille F 399 de Jean Rasera

F = Farman ; MF = Maurice Farman (selon site horizon14-18.eu/abreviation-armee-de-l-air).

« A partir de janvier 1917, l’escadrille F 399 adopte des signes distinctifs, comme toutes les unités de l’aéronautique militaire française, détachées auprès de l’armée serbe. » (site albindenis.free.fr)

Première escadrille MF 99 S (Serbie)
« L’escadrille MF 99 S doit sa naissance à la volonté du gouvernement français de secourir l’armée serbe, laquelle se défend courageusement et avec succès aux assauts de la puissante armée autrichienne depuis le tout début de la grande guerre. (…) L’aviation serbe étant réduite à sa plus simple expression, le gouvernement français ordonne l’envoi d’une escadrille, la MF 99 S (S pour Serbie) qui se rassemble à Bron en février 1915, dotée de 6 Maurice Farman MF 11. Son commandement est confié aux ordres du capitaine Roger Vitrat, militaire d’active passé dans l’aviation et déjà distingué pour ses missions de reconnaissance dans les escadrilles MF 25 et MF 21. (…)
Les 120 hommes composant l’escadrille embarquent ensuite à Marseille le 3 mars 1915 et atteignent après une escale à Malte et au Pirée, la ville de Salonique où aucune troupe française n’a pour l’instant débarqué. Les aviateurs français, déguisés en civil pour ménager la susceptibilité des Grecs encore neutres, partent en train sans leurs avions pour la Serbie le 14 mars 1915 et arrivent à Belgrade le 16, rejoignant la mission militaire d’artilleurs navals français dirigée par le LV Picot présente sur place depuis 1914. Le commandant Vitrat installe ensuite tous ses hommes sur le terrain d’aviation de Banjica (“Banitza” selon l’orthographe utilisée dans les documents français) le 18 avril où les rejoignent leurs appareils.
Malgré un coup de vent qui détruit le Farman n° 196, l’escadrille est rapidement opérationnelle et les premiers vols de guerre ont lieu le 23 avril 1915 où trois Farman décollent : l’état-major serbe demande une reconnaissance quotidienne de la ligne de front, constituée du Danube et son affluent, la Sava. (…) » (Site albindenis)

Farman 40 utilisé en 1916-1917 ; l’avion porte la large bande blanche distinctive des escadrilles F 399 / 525
et la spirale rouge sur fond blanc sur les flasques de roues – Photo collection Laurent Winer que je remercie pour son aide.

Farman 40 utilisé en 1916-1917 (site albindenis)

Farman 40 utilisé en 1916-1917 (site albindenis)

Deuxième escadrille MF 99 devenue F399
« La MF 99 S, qui vient de connaître une des plus grandes odyssées de l’aviation française de la première guerre mondiale, est alors dissoute mais sera reconstituée le 9 juin 1916 en France sous les ordres du capitaine Perrin de Brichambaut, destinée à opérer avec l’aviation d’Orient. (…)
Très vite renumérotée F 399, la nouvelle escadrille dotée de Farman F 40 débarque à Mikra, au sud de Salonique, où se trouve le parc de l’aviation serbe en formation. Elle sera en effet rapidement mise à disposition de l’armée serbe : après avoir stationné à Salonique-Sedès le 25 juin 1916, elle gagne le terrain de Vertekop le 27 juillet 1916, suivant ainsi les troupes franco-serbes dans leur offensive dans les montagnes de Macédoine vers la ville de Monastir qui d’ailleurs bombardée par 16 appareils de l’aviation serbe, dont 5 de la MF 99, le 16 août 1916. Bougeant le 8 septembre 1916 à Ostrovo, la F 399 gagne la base de Vrbeni (actuellement Itea, en Grèce) le 23 novembre, peu de temps après la prise de la ville de Monastir par les Serbes. Elle bouge ensuite à Boresnica en décembre 1916 puis reviendra à Vrbeni à une date indéterminée, où elle stationnera jusqu’à la fin de la guerre.

Au mois de janvier 1917, ses Farman revêtent les signes distinctifs définis pour les escadrilles de l’armée serbe : une bande blanche horizontale de fuselage, et un chevron rouge sur les ailes, auquel s’ajoutera officieusement une décoration de roues et une décoration personnelle portée à l’avant de la nacelle. » Site albindenis

Farman 40 utilisé en 1916-1917

Farman 40 utilisé en 1916-1917 (site albindenis)

Farman 40 utilisé en 1916-1917 (site albindenis)

L’escadrille dispose aussi de Nieuport d’escorte type 12 biplace et 21 monoplaces. Elle ne connaîtra qu’une perte en combat aérien en 1917 – un observateur ayant succombé à ses blessures, et un Farman abattu par la DCA le 30 juillet 1917.
L’histoire de ce Farman sera publiée dans la revue “La guerre aérienne illustrée” : il était piloté par le chef d’escadrille, le capitaine Perrin de Brichambaut, emmenant comme observateur le sergent Perrin de Brichambaut, son propre frère, qu’il avait d’ailleurs fait mettre aux arrêts car celui-ci était venu en retard pour le décollage de la mission ! L’équipage atterrit dans les marécages et s’en sort indemne, malgré la menace du feu de l’ennemi. Le 21 août, le commandement passe au capitaine Georges Lecoq et peu de choses se passent dans ce secteur du front où troupes serbes et bulgares sont figées dans les montagnes. L’escadrille devient la 2ème escadrille serbe le 17 janvier 1918 mais, contrairement à l’escadrille 521, elle ne connaîtra jamais un effectif 100 % serbe. Commandée par le Lt Paul Estienne le 7 août 1918, elle connait sa dernière perte au combat quatre jours plus tard quand un de ses Nieuport d’escorte piloté par le caporal Daniel Poirier est abattu en combat aérien, descendu par l’as allemand Gerard Fieseler. Participant à l’offensive finale de septembre, l’escadrille passe ensuite sous le commandement de l’armée serbe.

Carte des zones d’opérations des escadrilles MF 99 S – MF 99 – F 399 – Escadrille 525 

Carte des zones d'opérations des escadrilles MF 99 S - MF 99 - F 399 - Escadrille 525 (site albindenis)

Carte des zones d’opérations des escadrilles MF 99 S – MF 99 – F 399 – Escadrille 525 (site albindenis)

LE CAPORAL MECANICIEN FERDINAND EUGENE DECLUNY AU 3e GROUPE D’AVIATION, ESCADRILLE G 488 DE KOURTESIS (GRECE)

Né le 18 novembre 1873 à La Motte d’Aveillans (au sud de Grenoble, Isère), Decluny Fernand (prénom d’usage), classe 1893, territorial caporal au 3e Groupe d’Aviation,  est mort le 6 septembre 1918 de maladie contractée en service à Kourtésis en Grèce ; Jugement rendu et acte transcrit le 13 août 1919 à Paris, 14e arrondissement.
Ill. : Courtésis ou Kourtésis (Kourtesi) se trouve en Grèce, à environ 50 kilomètres dans le sud-ouest de Patras dans le Péloponnèse.

Situation de Kourtesis (Google)

Situation de Kourtesis (Google)

Il est enterré sous le monument aux morts de Passy.

Plaque portant les noms des 6 soldats enterrés sous le monument aux morts de Passy 

Plaque portant les noms des 6 soldats enterrés sous le monument aux morts de Passy (cliché Bernard Théry)

Plaque portant les noms des 6 soldats enterrés sous le monument aux morts de Passy (cliché Bernard Théry)

Il avait 41 ans en novembre 1914…, 45 ans à sa mort. (Voir article dans Vatusium n° 19, page…)
Extrait de l’Historique de l’escadrille 488 : « L’escadrille G 488 (…) était destinée à la surveillance aérienne des sous-marins ennemis. Elle est créée en Grèce à Kourtésis en décembre 1917, (…) au N.O. du Péloponnèse dans le but de surveiller l’entrée du golfe de Corinthe. (…)

Les Caudron G 4 et G6  de l’escadrille 488
Forte de 4 Caudron, l’escadrille G 488 débute son activité opérationnelle en avril 1918 et doit affronter (…) le paludisme endémique (…). En septembre 1918, alors qu’elle dispose de 11 Caudron G 4 et G 6, l’état sanitaire du personnel est tel que l’escadrille est évacuée sur Patras (…)» (site albindenis.free.fr)

Emplacement du terrain de Kourtesis (Kourtessi) utilisé par l’escadrille 488

Emplacement du terrain de Kourtesis (Kourtessi) utilisé par l'escadrille 488. Photo Google Maps - Montage Albin Denis.

Emplacement du terrain de Kourtesis (Kourtessi) utilisé par l’escadrille 488.
Photo Google Maps – Montage Albin Denis.

L’escadrille 488 est dissoute le 31 décembre 1918 en même temps que toutes les escadrilles côtières, sans semble-t-il avoir connu de perte ni rencontré de sous-marin ennemi. 8 de ses Caudron G.4 sont cédés avec leurs pièces de rechange à l’aviation grecque, le reste du matériel, y compris les hangars, étant évacué au grand parc de Salonique. (source : site albindenis)

Les G.4 et les Caudrons R.11 (1918) furent les seuls bimoteurs français de la guerre. (Wikipedia)

Caudron G4 bombardier lourd Premier vol : Mars 1915 – 2 moteurs 80 Hp Gnome
1 mitrailleuse Lewis 7.7 Vitesse  max : 132 km/h  –  1.358 G4 furent construits 

Caudron G4 bombardier lourd (site lesgpr.free.fr)

Caudron G4 bombardier lourd (site lesgpr.free.fr)

Voir aussi Caudron G-4 en reconnaissance près de  Verdun en 1917 (Wikipedia, art. Caudron G.4) et Chalons-Melette, le 31-08-1915. Biplan Caudron à deux moteurs – Fonds Berthelé (Wikipedia, art. Caudron G.4)

Caudron G.4 au Steven F. Udvar-Hazy Center

Caudron G.4 au Steven F. Udvar-Hazy Center (Wikipedia, art. Caudron G.4)

Caudron G.4 au Steven F. Udvar-Hazy Center (Wikipedia, art. Caudron G.4)

Le Caudron G.6 est un avion biplace de bombardement et de reconnaissance construit par la société des avions Caudron. Il fit son premier vol en juillet 1916 et 512 exemplaires furent construits pour l’armée de l’air. (Wikipedia, art. Caudron G.6)

Caudron G 6 

Caudron G 6 (site les as oubliés de 14-18)

Caudron G 6 (site les as oubliés de 14-18)

Voir aussi  Caudron G 6 (site aviastar.org)

Sources et sites pour en savoir plus :

site traditions-air.fr

site horizon14-18.eu/abreviation-armee-de-l-air

Site albindenis : escadrille AR 253 étude non encore effectuée… ; voir escadrille 488

Site pages14-18

Site « Les as oubliés »  asoublies1418.fr

site jn.passieux.free.fr

« Les terrains d’aviation de Lorraine : Secteur de Verdun – Argonne » sur le site jmpicquart

site anciens-aerodromes.com 

Avions FARMAN : Site pages14-18 (TRES DOCUMENTE)

Avions RENAULT : site renaultoloog.nl  ; Renault, entreprise d’armement, 1914-1918  ; site centenaire.org

Avions CAUDRON : société des avions Caudron ; site aviastar.org ; Caudron G 6 (site les as oubliés de 14-18) ; Wikipedia, art. Caudron G.4  ; site lesgpr.free.fr

Voir nos autres pages sur
– Passy pendant la grande Guerre
en particulier
 notre page consacrée au monument aux morts de Passy.

– Passy de 1920 à nos jours.

Découvrez aussi, sur notre site, la richesse et la variété du patrimoine de Passy :
 Les ex-voto du temple romain de Passy
– Le château médiéval de Charousse à Passy
– Le retable de la Chapelle de Joux, à Passy
– L’étonnant « Cahier » d’Eugène Delale, école de Passy, 1882
–  La méthode Freinet à l’école de Passy, 1932-1952
– La conduite forcée de 1947-1952 et la production hydroélectrique à Passy
– L’Arve des Gures aux Egratz, à Passy
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– L’inalpage dans les « montagnes » de Passy, « l’emmontagnée », et la « remuée » pendant l’été
– La gare de Chedde à Passy et la ligne Le Fayet-Chamonix
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