et mort de François Emile Ramus à Souain-Tahure
Lire notre revue Vatusium n° 18, 2015 « Les Passerands dans la Grande Guerre », 1ère partie : 1914 et 1915, page 59.
Cette page BONUS complète notre article « Les Passerands dans les offensives conjuguées d’Artois et de Champagne en 1915 » publié dans Vatusium n ° 18, pages 57 à 59.
Elle précise les circonstances de la « disparition » du Passerand François Emile RAMUS.
En 1915, le 30e RI (où se trouvent de nombreux Passerands) combat en Picardie de janvier à juillet dans le secteur sud-ouest de Péronne, puis en Champagne de septembre à octobre : Le Trou Bricot (25-30 sept.), Tahure.
Le Passerand François Emile RAMUS, classe 1907, a été grièvement blessé lors de la deuxième bataille de Champagne en septembre 1915 : soit le 25 soit le 27 (selon le JMO). Il est décédé à l’ambulance 5/14 le 10 octobre 1915 des suites de ses blessures de guerre à Somme-Suippe dans la Marne, à l’est de Reims. Il avait 28 ans. (Vatusium n° 18, p. 58)
Fiche décès de François-Emile Ramus
« Mort pour la France » : acte transcrit le 24 février 1916 à Passy.
Introduction
Voir nos pages
– « Repères chronologiques et géographiques pour la Grande Guerre »
– « Les Passerands du 30e RI et du 230e RI en 14-18 »
– « Passy : Liste alphabétique des soldats morts en 14-18 »
Les offensives de septembre 1915. Artois et Champagne
Contexte stratégique de la deuxième bataille de Champagne (septembre 1915)
Voir les détails sur notre page « Combats du 116e BCAP en Champagne du 28 au 30 septembre 1915 »
Cette offensive faisait partie d’un plan visant à reprendre la main, elle devait se déclencher simultanément sur deux points du front. Le premier au nord d’Arras devant Neuville-Saint-Vaast et Vimy et le second en Champagne.
Pour la Marne, l’effort sera mis entre Aubérive et la Main de Massiges sur vingt-cinq km de front.
Front atteint le 25 septembre 1915 ; Auberive, à gauche ; Massiges, à droite ;
Souain (en bas), le Trou Bicot, Tahure, au milieu
On travailla tout l’été pour mettre en place l’offensive, des gares et des camps furent créés, de larges tranchées furent tracées régulièrement avec des sens de passages pour amener rapidement des troupes en première ligne et rapatrier les blessés. Des places d’armes sont creusées pour stocker le maximum de troupes le jour ” J “, tous les mouvements et travaux furent exécutés de nuit pour ne pas éveiller l’ennemi. Des dépôts énormes de munition furent approvisionnés et 2 000 pièces diverses d’artillerie furent postées dans chaque bois ou repli de terrain.
Deux armées, la 4e de de Langle de Cary et la 2e de Pétain soit 33 divisions vont se trouver engagées.
Ce n’étaient plus les combats de la fin de l’hiver 1914-1915, pour la première fois on donnait aux soldats les moyens de mener une attaque victorieuse et chaque poilu était persuadé que la victoire ne pouvait pas lui échapper.
Le 22 septembre 1915, les canons se démuselèrent, dans un vacarme assourdissant, ils vont tirer pendant trois jours et trois nuits 1 000 000 d’obus de tous calibres et niveler la première ligne ennemie. (site champagne1418)
Offensives allemandes et françaises en Champagne
Voici le résumé de l’attaque du 25 septembre 1915 :
Le 25 septembre 1915, à 9 h. 15, drapeau déployé, le 30e s’élance à l’assaut des positions ennemies. Deux heures après les objectifs étaient atteints : deux bataillons se déploient face au Trou Bricot ; le 1er bataillon occupe plus au nord le camp d’Eberfeld, face à la route Souain – Tahure. Notre avance dépasse 4 km. ; nous avons fait 1500 prisonniers. Une citation à l’ordre de la 2e armée récompense ce brillant fait d’armes. (Site dumoul.fr, page « 30e RI Fête du 17 Mai 1936 à Annecy, commémoration »
« L’attaque a lieu le 25 septembre, parfois encore avec les cérémonials de 1914 (musique et drapeaux déployés). Les soldats attaquent fougueusement. Ils veulent en finir. » François Cochet, professeur des universités, UFR SHS-Metz, 21 septembre 2015 (site centenaire.org/fr/espace –scientifique, page 25 septembre 1915, les offensives de Champagne et d’Artois)
Assaut, drapeau en tête
Front atteint le 25 septembre 1915 ; Souain (en bas), Maison le Trou Bicot, Tahure
Voici deux récits de ces combats du 30e RI
1) dans l’Historique du 30e RI
2) dans le JMO du 30e RI
Les combats du 25 septembre au 15 octobre 1915 dans l’Historique du 30e RI sur le site gallica bnf.fr, pages 14 et 15 :
L’Attaque de Champagne (25 Septembre 1915)
« Le Régiment doit être en place le 25 septembre 1915 avant le jour. Il part le 24, à 22 heures, ayant largement le temps d’arriver, puisqu’il ne faut que trois heures pour arriver en ligne. Le temps est couvert, la nuit plutôt sombre ; il tombe quelques gouttes de pluie.
Tout marche bien pendant une heure, puis se produisent les inévitables à-coups, les arrêts sans raison apparente, les longues stations sous la pluie, les tronçonnements dans les colonnes, et les ordres qui suivent déformés à l’envi, toute la longue théorie des guerriers qui, à la queue leu-leu, gagnent leur base de départ.
Enfin, la colonne arrive à la grande transversale. C’est là que les sections doivent prendre les échelles de franchissement, et quelles échelles ! des monuments ! 4 ou 5 mètres de long, très larges, très pesantes, très encombrantes, et avec cela pas solides. Peu importe, d’ailleurs ; lorsque, à 6 h. 45, le Régiment sera en place, il n’y en a plus. Elles gisent toutes lamentablement au fond de quelque vague boyau, abandonnées par leurs détenteurs, plus pressés de suivre la colonne que de se préoccuper de la manière dont ils franchiront le parapet.
Une bonne heure avant « H », on est prévenu que « H » égale 9 h. 15 ; les montres sont réglées. Le 3e Bataillon est à gauche du dispositif, en liaison sur sa gauche avec le 99e R.I. ; le 2e Bataillon, à droite du 3e, en liaison à droite avec le 52e R. I.; le 1er Bataillon derrière le 2e Bataillon.
Le Régiment a pour rôle de flanc-garder la 27e D. I., qui doit s’emparer de Tahure. A deux kilomètres du point de départ, il doit faire face à gauche et border les boyaux Blücher et Buda-Pesth, depuis la maison du Trou-Bricot jusqu’au-delà de la « Baraque » de la route Souain-Tahure. »
Un assaut
« A 8 h. 45, les Bataillons de première ligne se placent dans les parallèles de départ ; nos 220 font rage sur les premières lignes boches. Nos gens se dressent joyeusement sur la pointe des pieds pour voir par-dessus le parapet, transformant la tranchée en un ruisseau de casques mouvants. Dangereuse fantaisie que le Boche fait cesser par ses tirs de 150 et de 105, et que paient de leur vie le sous-lieutenant Ravenaz et pas mal de nos hommes.
Plus que deux minutes ! Plus qu’une minute et demie !
A notre droite le 52e R. I. est sorti. Il n’est pas « H » encore, mais le mouvement est contagieux et le Régiment sort à son tour.
Le voilà qui file rapidement, sous la pluie fine qui ne cesse de tomber. Il franchit allègrement les réseaux de la tranchée d’York, et arrive à cet ouvrage avec 4 minutes d’avance sur l’horaire prévu. 4 minutes d’arrêt pour remettre un peu d’ordre dans les unités.
Le mouvement en avant s’opère pour l’encerclement du Trou Bricot, où les 12e Compagnie (Capitaine Clavier) et 10e Compagnie (Capitaine Adam) font plus de 1 200 prisonniers. La marche continue rapide pour le 2e Bataillon. Les vagues successives se sont rejointes et gravissent lestement les molles ondulations du terrain. Trop lestement même ; des obus de 75 tombant à 100 mètres en avant de la ligne rappellent à ces trop valeureux assaillants que la modération, elle aussi, est une qualité guerrière. »
Souain, Tahure, Le Trou Bricot, tranchée d’York, juste sous le Trou Bricot
Souain, Tahure, Le Trou Bricot, cote 193
« Avant midi, tous les objectifs sont atteints. Le 1er Bataillon, en arrière, a nettoyé le camp d’Elberfeld, et les « nettoyeurs » du Régiment ont fait ce qu’on est convenu d’appeler « du beau travail ».
Camp d’Elberfeld entre le bois des Perdreaux et le bois du Cameroun
« Le 30e a gagné plus de 4 kilomètres. La gaieté règne dans tous les cœurs, ce premier succès autorisant toutes les espérances. Hélas ! l’attaque si bien commencée et si bien rendue ne devait pas donner d’autres résultats. Le 416e, engagé le 26 pour enlever les tranchées de « La Vistule », y laisse 1500 hommes sans résultat.
Le Régiment, qui est le 26 au soir au nord de la route Souain-Tahure, le 27 à la cote 193, est relevé le 28 par une D. I. C. [Division d’Infanterie Coloniale]. Il passe la nuit au camp d’Elberfeld, et le 29 au matin, par une pluie diluvienne, redescend dans les bois en arrière des anciennes premières lignes, à proximité du boyau A 4.
Le temps est brumeux. Des feux sont allumés et chacun, du Colonel au simple Poilu, se sèche à la flamme des foyers. Le Régiment reste sur place ; il bivouaque dans le boyau A 4, où il reprend un repos que d’aucuns auraient préféré prendre dans un lieu plus confortable.
L’attaque doit reprendre le 6 octobre. Le 6, à 0 h. 30, le 30e se porte à l’ouest du camp d’Elberfeld, dans les bois, au sud de la route Souain-Tahure, où il est en cinquième ligne. De 4 à 6 heures, les 75 font rage. A droite, Tahure est pris ; en face, l’attaque échoue ; le Régiment redescend à A 4 où, jusqu’au 15 octobre, il travaillera à organiser le Trou Bricot et à construire des abris. C’est là que le trouvera son nouveau chef, le Lieutenant-Colonel Santos-Cottin, le Colonel Dol étant promu au commandement d’une Brigade.
Le 15 octobre, dans l’après-midi, tout le Régiment vient bivouaquer à Saint-Rémy-sur-Bussy.
Stationné les 16 et 17 à Vitry-la-Ville, il embarque le 18 à Vitry pour Vaildoie, où il arrive le 19 au matin. »
Plus d’infos sur le site champagne1418
Situation du front début octobre 1915
Les combats du 25 septembre au 15 octobre 1915 dans le JMO du 30e R.I.
(Mémoire des hommes Journaux des unités 1914-1918) : 26 N 605/2 J.M.O. du 20 juin au 15 octobre 1915, pages 25-26.
JMO du 30e RI, p. 25a haut
25 septembre 1915 Le rôle assigné au régiment consistait à « bondir » jusqu’à la tranchée d’York et d’effectuer au nord de la dite tranchée un rabattement face à l’ouest jusqu’au boyau Blücher la gauche (sud) du régiment appuyée à la tranchée d’York, la droite (nord) devant s’échelonner le plus loin possible jusqu’au-delà de la Baraque (vers le Nord) de la route Souain-Tahure.
Le but de cette manœuvre était de protéger le flanc gauche de l’attaque principale du C.A. [Corps d’Armée] et de contribuer à l’encerclement du Bois du Trou-Bricot.
A 9h 15, le Régiment partait à l’assaut malgré un tir de barrage des plus violents : 2 bataillons en première ligne, un bataillon en 2e ligne derrière la droite. Le bond jusqu’à la tranchée d’York fut effectué avec un élan irrésistible bien que des feux de plus en plus nourris fussent dirigés contre le flanc gauche du régiment. La tranchée d’York fut occupée sans grande difficulté.
Le mouvement assez délicat de rabattement face à l’Ouest commença par le bataillon de gauche qui, malgré un feu combiné de mousqueterie et d’artillerie ennemie (150) put rabattre successivement ses compagnies face à l’Ouest et les lancer dans le boyau Blücher où on voyait s’agiter des groupes allemands.
Le bataillon de tête de la colonne de droite poursuivant sa marche vers le Nord exécuta le même mouvement et se déploya à la droite (N) du bataillon déjà placé.
Le bataillon disponible opéra de la même façon et vint se mettre à cheval sur la route de Souain à Tahure, se couvrant par des éléments qui poussèrent jusqu’aux abords de la cote 193.
Dans leur progression au Nord de la Tranchée d’York :
a) les compagnies du bataillon de gauche pivot s’emparèrent de deux pièces de 77 et de plusieurs mitrailleuses.
b) le bataillon de droite et le bataillon disponible balayèrent les deux camps « d’Elberfeld » et « Sans Nom » dont ils massacrèrent les défenseurs ; quelques officiers furent surpris au lit. La chaîne du bataillon disponible eut à souffrir de l’explosion de plusieurs mines allemandes aux abords de la Baraque.
Les mouvements de rabattement effectués, le Régiment eut à contenir les tentatives répétées des Allemands pour sortir de la lisière Est du Trou Bricot ; ces tentatives échouèrent toutes : la compagnie de mitrailleuses du régiment a contribué largement à contenir ces attaques grâce aux dispositions prises par son chef qui fut tué à son poste.
JMO du 30e RI, p. 25a bas
JMO du 30e RI, p. 25b haut
Camp d’Elberfeld et la cote 193
JMO du 30e RI, p. 25b bas
JMO du 30e RI page 26a haut
La route de Souain à Tahure fut interceptée par un de nos détachements qui marchant de l’Est à l’Ouest à la rencontre des Marocains coupa la retraite à des groupes allemands.
Bref, vers 17 heures devant le front du bataillon de gauche du 30e, on vit de nombreux Allemands levant les bras crier « Kamarad » – beaucoup d’entre eux avaient le chapelet à la main – et implorer grâce. Un paquet de 1200 d’entre eux, avec une douzaine d’officiers, se rendit et fut envoyé à l’arrière encadrés par groupes de cent. Les autres bataillons furent également traversés par quelques groupes de prisonniers moins nombreux toutefois.
JMO du 30e RI page 26a bas
PERTES Officiers : 11 tués, 17 blessés. Troupe : 121 tués, 473 blessés, 28 disparus, 3 évacués pour maladie.
Le front de Champagne. « Butte de Souain, vue vers Tahure. Théâtre des combats acharnés de 1915 »
page 26
26 septembre 1915 Les bataillons sont échelonnés face à l’Ouest depuis la Baraque jusqu’à la Tranchée d’York. P.C. du Colonel : Trou Bricot.
18 heures : 1e et 2e bataillon dans le Bois Bricot au nord de la route Souain-Tahure.
3e bataillon au Trou Bricot en réserve de Division.
18h 30 : P.C. du colonel : camp d’Elberfeld. La nuit du 26 au 27 est calme. Pertes : 2 évacués pour maladie.
27 septembre 1915 Aucun changement dans notre situation jusqu’à 12 heures. Le Colonel Dol prend le commandement de la 54e brigade d’Infanterie. Le Chef de bataillon Rapp le commandement du régiment. Le 1er bataillon fait tactiquement partie de la 54e Brigade.
16 heures : La 54e Brigade et le 1er bataillon doivent attaquer à 16 heures les tranchées de Souain. Les 2e et 3e bataillons auxquels sont rattachés de 16h à 20 heures le groupe cycliste de la 8e Division de cavalerie et l’Escadron à pied du 11e Dragons, occupent un dispositif en profondeur à la lisière Est du Trou Bricot.
2e et 3e bataillons et groupe cycliste au Nord de la route Souain-Tahure et détachement léger au Sud.
20 heures : L’attaque du 1er bataillon soutenue par le 2e bataillon a conduit le 1er bataillon au contact des fils de fer allemands où il se retranche et s’organise. La nuit, le 2e bataillon bivouaque dans les abris un peu en arrière du 1er bataillon de la route Souain-Tahure.
Pertes : Officiers, 1 capitaine tué, 1 sous-lieutenant blessé, 1 capitaine évacué pour fatigue générale. Troupe : 7 tués, 40 blessés
28 septembre 1915 La nuit du 27 au 28 est calme. Rien de changé dans notre situation. […]
Le régiment est relevé par la 16e Division d’Infanterie coloniale et vient bivouaquer au camp d’Elberfeld
Note : Le JMO ne signale aucun tué du 28 septembre au 10 octobre, date du décès de François Emile Ramus. Celui-ci a donc été mortellement blessé le 25 ou le 27 septembre.
Rassemblement de cadavres après une attaque
Sources et sites à consulter pour en savoir plus :
Historique du 30e RI sur le site gallica bnf.fr, pages 14 et 15 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6261392x.r=.langFR
JMO du 30e R.I. août-septembre 1914 : 26 N 605/2 J.M.O. du 20 juin au 15 octobre 1915 (Mémoire des hommes Journaux des unités 1914-1918) :
Fiches décès site Mémoire des hommes
site combattant.14-18 http://combattant.14-18.pagesperso-orange.fr/ParcoursMobilises/MichelArmand/AM07.html
site blogs.ac-amiens
site trebes1914.fr : carte https://www.trebes1914.fr/6-1915-l-enlisement/6-7-la-2-offensive-de-champagne/pierre-azam-128/
site lescarnetsde frederic.over-blog.com : atelier pédagogique d’élèves de 1ère http://lescarnetsdefrederic.over-blog.com/2015/10/journal-du-1er-au-11-octobre-1915-le-declin-de-l-offensive-de-champagne.html
site pages14-18.mesdiscussiosn.net, sujet 6828 http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/qui-cherche-quoi/camp-sujet_6828_1.htm
site champagne1418 http://champagne1418.pagesperso-orange.fr/Bataille/Page%201915%20-2.htm
site medailles1914-1918.fr http://www.medailles1914-1918.fr/france-champagne.html
site dumoul.fr, page « 30e RI Fête du 17 Mai 1936 à Annecy, commémoration » http://www.dumoul.fr/mili/14-18/regiments/30eRI/feteCommemoration.php?page=feteCommemoration
Site centenaire.org/fr, page 25 septembre 1915, les offensives de Champagne et Artois http://centenaire.org/fr/espace-scientifique/pays-belligerants/25-septembre-1915-les-offensives-de-champagne-et-dartois
Wikipedia, art. Bataille de Champagne (1915) https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Champagne_(1915)
Site cndp.fr/crdp-reims/mémoire/lieux : cimetière de Somme-Suippe http://www.cndp.fr/crdp-reims/memoire/lieux/1GM_CA/cimetieres/francais/somme_suippe.htm :
site ville-brasparts.forum-actif.net (RICHE en texte et PHOTOS) http://ville-brasparts.forum-actif.net/t412p30-memorial-des-braspartiates-dans-la-grande-guerre-1915
Site http://www.lemilitarial.com/mplf/etudes/expos/giroussens/analyse/analyse-globale2.htm : LA GUERRE DE 1914-1918 VÉCUE PAR QUELQUES SOLDATS DU MIDI
Parcours des soldats de Giroussens mort pour la France (nombreuses photos et cartes)
Site : http://amphitrite33.canalblog.com/archives/2010/07/24/18654838.html : Somme-Suippe en bas à droite, au sud-est de Suippes
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