Lire notre revue Vatusium n° 18, 2015 « Les Passerands dans la Grande Guerre » 1ère partie : 1914 et 1915 ; et Vatusium n° 19, 2016 « Les Passerands dans la Grande Guerre » 2e partie : 1916 à 1919 (parution août 2016).
Cette page BONUS complète notre article publié dans Vatusium n° 19, page 45 “Raymond Parisot, sous-marinier“.
Deux soldats de Passy ont participé à la guerre sous-marine. L’un dans la marine : Raymond Ernest Parisot ; l’autre dans l’aviation : Fernand Décluny.
Voir dans Vatusium n° 19, page 44, notre article « De Passy au « Paris », l’odyssée de Georges Girard et des autres marins passerands ». Extrait :
Raymond Ernest Parisot, classe 1911, incorporé au 5e Dépôt des Equipages de la Flotte à Toulon le 10 octobre 1912, est apprenti marin ; passé dans la Réserve de l’Armée de Mer le 1er octobre 1914, il est nommé mécanicien à la Direction des mouvements du port le 1er juillet 1915. Promu quartier-maître mécanicien sur les sous-marins le 3 janvier 1916, puis second maître mécanicien le 1er avril 1919, il est démobilisé le 16 août 1919.
Un autre Passerand, Fernand Décluny, a participé à la guerre contre les sous-marins allemands à l’entrée du golfe de Corinthe : voir l’article « Mourir à Monastir » dans notre revue Vatusium n° 19 et notre page « Des Passerands dans l’aviation ».
Le submersible Cugnot à La Pallice-Rochelle
Les sous-marins français durant la guerre de 14-18
Jean-Dominique Merchet présente « L’encyclopédie des sous-marins français » (1er tome. Sous la direction de Thierry d’Arbonneau. Editions SPE Barthélémy) dans son article “La préhistoire des sous-marins français” du 28 janvier 2015 :
« (…) Le rôle des sous-marins français durant la guerre de 14-18 est mal connu. Force est de reconnaître qu’il fut modeste, les auteurs parlant même de « patrouilles frustrantes ». Rien de comparable en tout cas à la saga des U-Boote du Kaiser. Et pourtant « sur les différents théâtres, cinquante-neuf sous-marins ont conduit plus de 1300 sorties de guerre » et « quatorze d’entre eux ont été perdus ». L’ouvrage décrit aussi l’invention de la lutte anti-sous-marine, vue de la surface et des airs.
Le chapitre sur la « vie à bord » est à lui seul un pur régal. Dormir, manger, se laver (ou plutôt ne pas le faire), tout est raconté en détail. Et pour les besoins naturels ? Des bouteilles à urines et pour le reste, on attendait le retour à la surface, heureusement fréquent : « Surface à midi et demie (…) Aération pour ceux qui ont besoin d’aller au cabinet. L’on se tient tous aux rambardes et nous sommes tous alignés le long du bord, mais comme nous sommes en demi-plongée, pas de problème de nettoyage… »
Comment fut inventée la régénération de l’air en milieu confiné ou la mise au point des torpilles ? Quels étaient les premiers moyens de sauvetage en cas d’accident ? Tout est raconté, avec force détails, passionnants. » (Site secretdefense.blogs.liberation.fr)
Sous-marins et torpilleurs français participant au blocus de l’Adriatique au début de 1915
Les débuts des sous-marins français
Mis en service en juin 1900, le sous-marin français Narval introduit la double coque, avec une coque intérieure dans la coque de pression. À cette époque, la France est « indiscutablement la première marine à avoir une véritable force sous-marine ». Ces sous-marins de 200 tonnes ont un rayon de plus 100 milles en surface et 10 milles sous l’eau. Le sous-marin français Aigrette de 1904 améliore encore ce concept en utilisant un moteur Diesel plutôt qu’un moteur à essence en surface. 76 sous-marins de ce genre sont terminés avant 1914. (Wikipedia, art. Histoire des sous-marins)
Le sous-marin français Narval à Cherbourg en 1900
Liste des sous-marins français et leur affectation au 1er janvier 1918 (Site pages14-18) :
Nom du s/m – Affectation 01.1918 – E.S.– Propulsion
Aigrette – Normandie – 1908 – Diesel –
Amiral Bourgois – Normandie – 1908 – Diesel –
Ampère – Maroc – 1910 – Vapeur –
Andromaque – ENSM – 1916 – Diesel –
Arago – ENSM – 1912 – Diesel –
Archimède – Maroc – 1910 – Vapeur –
Aréthuse – Brindisi – 1916 – Diesel –
Argonaute – ENSM – 1903 – Vapeur –
Armide – Corfou – 1916 – Diesel –
Artémis – Brindisi – 1916 – Diesel –
Atalante – 1ère Escadrille s.m.Brindisi – 1916 – Diesel –
Bernoulli – Brindisi – 1912 – Diesel –
Berthelot – Bizerte – 1910 – Vapeur –
Brumaire – Bretagne – 1912 – Diesel –
Cigogne – ENSM – 1906 – Diesel –
Circé – Brindisi – 1909 – Diesel –
Cornélie – Normandie – 1916 – Diesel –
Coulomb – Brindisi – 1912 – Diesel –
Cugnot – Bizerte – 1909 – Vapeur –
Daphné – Bretagne – 1916 – Diesel –
Diane – Bretagne – 1917 – Diesel –
Dupuy de Lôme – Escadrille du Maroc – 1915 – Vapeur –
Emeraude – Corfou – 1908 – Diesel –
Espadon – Normandie – 1902 – Vapeur –
Euler – Bretagne – 1913 – Diesel –
Faraday – Brindisi – 1912 – Diesel –
Floréal – Brest, destiné à Bizerte – 1909 – Vapeur –
Franklin – Brindisi – 1914 – Diesel –
Frimaire – Bretagne – 1913 – Diesel –
Fructidor – Normandie – 1910 – Vapeur –
Gay-Lussac – Bizerte – 1911 – Vapeur –
Germinal – Brest, destiné à Bizerte – 1909 – Vapeur –
Giffard – Bizerte – 1910 – Vapeur –
Gorgone – Réparation Toulon – 1917 – Diesel –
Gustave Zédé – Maroc – 1915 – Vapeur –
Le Verrier – Brindisi – 1913 – Diesel –
Messidor – ENSM – 1910 – Vapeur –
Montgolfier – Bretagne – 1914 – Diesel –
Néréide – Escadrille s.m. de Bretagne – 1917 – Diesel –
Newton – Bretagne – 1914 – Diesel –
Nivôse – Bretagne – 1912 – Diesel –
Opale – Moudros – 1909 – Diesel –
Papin – Maroc – 1909 – Vapeur –
Pluviôse – Escadrille s.m. de Normandie – 1908 – Vapeur –
Prairial – Normandie – 1909 – Vapeur –
Roland Morillot – Normandie – 1917 – Diesel –
Rubis – Corfou – 1910 – Diesel –
Sané – Maroc – 1916 – Vapeur –
Silure – Bretagne – 1902 – Vapeur –
Sirène – Bretagne – 1901 – Vapeur –
Thermidor – Normandie – 1910 – Vapeur –
Topaze – Moudros – 1911 – Diesel –
Triton – Normandie – 1902 – Vapeur –
Ventôse – Brest, destiné à Bizerte – 1908 – Vapeur –
Volta – Bretagne – 1913 – Diesel –
Watt – Bizerte – 1909 – Vapeur –
Embarquement d’une torpille dans le Drzewiecki (En 1884, l’inventeur polonais Stefan Drzewiecki conçoit un sous-marin électrique)
du sous-marin Prairial, à Cherbourg, avant la guerre
Topaze, torpilleur sous-marin, guerre 14-18
Les sous-marins allemands durant la guerre de 14-18
Dans la marine impériale allemande, le premier sous-marin « U-1 » (abréviation d’Unterseeboot, sous-marin en allemand, pluriel U-boote) a été livré en décembre 1906. Lorsque la guerre éclate en août 1914, elle en aligne 28. (Wikipedia, art. Unterseeboot)
En septembre 1914, le sous-marin allemand U-9 coule trois croiseurs britanniques en quelques minutes.
Pour avoir sous-estimé l’efficacité des sous-marins, des torpilles et des mines, les Alliés sont littéralement traumatisés par les premiers torpillages des U-Boote.
Dès le 5 septembre 1914, le croiseur HMS Pathfinder est coulé par l’U-21 devant le Firth of Forth, puis le 26 septembre, l’U-9 de l’Oberleutnant zur See von Weddingen torpille, au large de la Hollande, les croiseurs cuirassés HMS Cressy, Aboukir et Hogue faisant 1600 morts d’un coup !
Suivent bientôt la perte du cuirassé flambant neuf HMS Audacious qui saute sur une mine le 27 octobre et le torpillage du vieux cuirassé HMS Formidable.
Désormais, la Grand Fleet se replie sur sa base de Scapa Flow et n’en sortira qu’en de rares occasions, pour l’expédition des Dardanelles en 1915 ou la bataille du Jutland. (site 14-18mag.fr)
Fin 1914, l’Entente possède la maîtrise de la mer confirmée par l’élimination des quelques raiders allemands menant la guerre de course dans le Pacifique et l’océan Indien.
L’escadre de l’amiral von Spee qui tentait de regagner l’Allemagne par l’Atlantique a été anéantie aux Falklands (Malouines) le 8 décembre 1914, après son succès à Coronel contre l’escadre improvisée de l’amiral Cradock. Cependant, la mer Noire et la mer Baltique restent sous la domination des flottes turque et allemande, ce qui isole la Russie.
Willy Stöwer, 1864-1931, Germany Le sous-marin U.21 coule le cargo “Linda Blanche” dans la baie de Liverpool, 30 janvier 1915
Quelle est la riposte navale allemande face à la supériorité alliée sur mer ?
« Cette guerre de course est alors remplacée par la guerre sous-marine aux abords des côtes françaises et anglaises, y compris contre les neutres. La mission première des sous-marins était de torpiller les navires de guerre adverses, les navires de commerce n’étant ciblés que « par défaut ». L’honneur interdit même de s’y attaquer.
Mais de fait, les sous-marins sont trop lents, sauf exceptions, pour s’attaquer à la flotte de guerre. Très vite, les sous-marins allemands s’en prennent donc aux navires de commerce. Au début, ils les arraisonnent en surface et les coulent au canon, laissant le temps aux équipages d’évacuer le navire. Mais cette méthode s’avère dangereuse : les navires ciblés signalent par radio la position du sous-marin à la marine de guerre, qui envoie à la rescousse un bateau ou un hydravion.
A cette époque, les sous-marins sont motorisés au diesel ; faute de pouvoir évacuer les gaz, ils naviguent la plupart du temps en surface ; en plongée, ils passent sur batteries électriques, mais il faut régulièrement faire surface pour les recharger au moyen du moteur diesel !
De plus, les Anglais multiplient les Q-ships, ou bateaux-pièges, des navires de guerre camouflés en navires de commerce qui coulent les sous-marins dès que ceux-ci font surface pour les arraisonner. » (Site lemonde.fr/culture)
Le naufrage du Lusitania, par Veskit
Dès la fin de 1914, les U-Boots changent de tactique : le torpillage en plongée évite toute riposte, mais ne laisse aucune chance aux équipages. Cette guerre « sale », qui attire les foudres de l’opinion alliée, mais aussi un certain malaise dans la flotte allemande (avant-guerre, des officiers qui la préconisaient ont été sanctionnés par leur hiérarchie…), est d’abord menée à basse intensité.» Site lemonde.fr/culture
L’affaire du Lusitania
Le torpillage du Lusitania, en mai 1915, suspend même ces opérations dans l’Atlantique Nord pour ménager l’opinion américaine ; elle se poursuit cependant là où les navires américains sont moins présents.
Le paquebot britannique Lusitania est en effet torpillé par le sous-marin allemand U-20 le 7 mai 1915, au large de l’Irlande, faisant presque 1 200 victimes parmi les passagers (dont près de 200 Américains). Depuis 1972, on sait qu’il transportait un chargement secret de munitions.
Torpillage du Lusitania par le sous-marin allemand U-20
La « guerre sous-marine illimitée » en janvier 1917
« La radicalisation du conflit sur terre et l’échec de la guerre d’escadres, après le résultat indécis au Jutland (31 mai-1er juin 1916), poussent l’amirauté allemande à faire de la guerre sous-marine un choix stratégique. Le 16 janvier 1917, les Allemands décident de reprendre la guerre sous-marine à outrance avec des sous-marins plus gros, capables d’atteindre les côtes américaines…
Début 1917, en effet, sous la pression des militaires, et notamment de l’amiral Tirpitz, le Kaiser se décide à pratiquer la guerre sous-marine à outrance, c’est-à-dire couler tous les navires se rendant au Royaume-Uni, même les neutres. Les Allemands espèrent ainsi étouffer l’économie britannique et la contraindre à se retirer du conflit.
Ils l’annoncent le 31 janvier 1917.
Mais n’est-ce pas pousser les Etats-Unis dans le camp allié ?
En effet. En 1914, les Etats-Unis protestent plus contre le blocus britannique, qui entrave « la liberté des mers », que contre les attaques de sous-marins allemands. Mais les torpillages font basculer l’opinion. L’annonce de la guerre sous-marine illimitée donne à Washington le prétexte pour entrer dans le conflit.
En réalité, le blocus ayant interrompu tout commerce avec l’Allemagne, les exportations américaines, et les crédits associés, vont aux Alliés : il n’est dès lors plus question de laisser les Allemands gagner si l’on veut voir ces crédits remboursés…
L’état-major allemand, de son côté, calcule qu’il faudra un an à l’armée américaine pour être prête au combat en Europe. Il suffit donc de battre les Alliés avant, ce qui est possible après l’effondrement russe.
Mais la marine américaine fournit aussitôt aux convois les escortes contre les sous-marins ; les chantiers navals construisent plus de navires que les U-Boots n’en coulent ; les pays neutres, qui hésitaient jusque-là à ravitailler les Alliés en raison de la menace sous-marine, y sont contraints sous la pression de Washington.
Un dirigeable britannique classe SS (le SSZ-37) accompagné d’un sloop chasseur de mines
Enfin, les Alliés ont amélioré la lutte anti-sous-marine : l’hydrophone (détection acoustique) en 1915, les grenades anti-sous-marines en 1916, l’hydravion de détection en 1916 et surtout l’organisation en convois. Jusqu’en 1916, les Alliés disposent des patrouilles de navires légers le long des routes maritimes, mais les U-Boots attaquent là où ils ne sont pas présents.
De plus, les armateurs refusent de circuler en convois, parce qu’ils veulent livrer plus vite que leurs concurrents et qu’ils craignent les collisions, non couvertes par les assureurs ! Enfin, les officiers de marine estiment indigne le travail de « chien de garde » des navires de commerce.
Un dirigeable de la marine française au-dessus de la mer, en janvier 1918, pour protéger les convois de matériel et de troupes venant d’Amérique
Mais en janvier 1917, les Français imposent l’escorte permanente et le regroupement en convois des charbonniers qui vont d’Angleterre en France (les Allemands occupent l’essentiel des mines de charbon françaises du nord-est). Le succès est tel que l’amirauté britannique se résout enfin, à l’été 1917, à imposer cette formule à tout le trafic commercial.
En 1918, les 145 U-Boots en service sont pourchassés par 4 000 navires et 3 500 avions : le tonnage coulé est inférieur de 80 % à celui de 1917. Les Allemands ont perdu aussi la guerre sous-marine. (…) » (Site lemonde.fr/culture)
Les effets de la guerre sous-marine à outrance
Le pic de tonnage coulé est atteint en avril 1917 : la France n’a, à cette date, que quinze jours de consommation de charbon en stock !
En avril 1917, les sous-marins allemands ont déjà coulé 847 000 tonnes, soit l’équivalent du quart de la flotte commerciale française. En fin de compte, au lieu de faire baisser pavillon au Royaume-Uni et de terroriser les neutres, la guerre sous-marine à outrance provoque l’intervention américaine.
Et la maladresse de la diplomatie allemande achève de provoquer ce revirement : en janvier 1917, le ministre-conseiller Zimmermann n’hésite pas à promettre au Mexique l’alliance de l’Allemagne contre les États-Unis avec, pour salaire de la victoire, le retour des provinces perdues (Texas, Arizona et Nouveau-Mexique). Cette intervention du Kaiser dans les affaires américaines suscite l’indignation. Le congrès américain décide l’entrée en guerre contre les empires centraux.
Le 6 avril 1917, les États-Unis entrent en guerre et envoient un premier contingent de 80 000 hommes en France. Le 13 juin 1917, le général Pershing, commandant du corps expéditionnaire américain, arrive en France.
Les sous-marins allemands fournis après l’Armistice
« Les sous-marins allemands n’ont pas été fournis au titre des réparations, mais purement et simplement livrés aux Alliés en application de la convention d’armistice du 11 novembre 1918 dans les ports désignés dans les 14 jours de la signature. Cela pour les bâtiments disponibles ; la remise des bâtiments indisponibles s’est étalée dans le temps.
Ainsi, 44 U boote ont été livrés à la France et la plupart a navigué sous pavillon français. En pratique, les Français – qui avaient mis en service un nombre très restreint de sous-marins pendant la guerre – comptaient bien les utiliser. C’est l’opposition des autres puissances alliées qui a coupé court à ces projets et seuls une dizaine d’U boote nous a été laissée. » J. Lassaque (site pages14-18)
Cette photo est également parue dans l’Histoire de la Marine, vol II, l’Illustration, 1966. (Première édition en un volume en 1934).
Sources et sites à consulter pour en savoir plus :
site 14-18-marine-livredor.wifeo.com http://14-18-marine-livredor.wifeo.com/cugnot-sous-marin.php
Wikipedia, art. Barrage d’Otrante https://fr.wikipedia.org/wiki/Barrage_d%27Otrante ;
Wikipedia, art. Dirigeable militaire https://fr.wikipedia.org/wiki/Dirigeable_militaire
Wikipedia, art. Unterseeboot https://fr.wikipedia.org/wiki/Unterseeboot
site 14-18mag.fr http://www.14-18mag.fr/2013/08/sous-marins-dans-la-grande-guerre/
Site lemonde.fr/culture http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/07/30/14-18-la-grande-innovation-c-est-la-guerre-sous-marine_4455797_3246.html
site wikimanche.fr http://www.wikimanche.fr/Narval_(Q-004)
Site pages14-18, page sous-marins français http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/sous-marins-francais-sujet_238_1.htm
site pages14-18 page marine 1914-1918/marins-reverses-conflit http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/marins-reverses-conflit-sujet_2427_1.htm
site epaves-passion.com http://www.epaves-passion.com/videos_prairial.htm
Site epavedepaquebots https://epavedepaquebots.wordpress.com/2012/05/23/biblio-lusitania-des-sites-consacres-au-levrier-des-mers/
site delcampe.net http://www.delcampe.net/page/item/id,28055375,var,MARINE-MILITAIRE–Torpilleur-Sous-Marin-TOPAZE–Guerre-14-18,language,F.html
site peinturesetpoesies.blog50 http://peinturesetpoesies.blog50.com/archive/2014/10/index.html
site 3dvf.com http://www.3dvf.com/afficher_image-428-8560-4d91e7c88c.html
site fr.sputniknews.com https://fr.sputniknews.com/societe/201508151017553347/
Plus d’infos sur le naufrage du Lusitania :
site https://fr.wikipedia.org/wiki/RMS_Lusitania
Site france24.com http://www.france24.com/fr/20150507-naufrage-lusitania-mysteres-paquebot-premiere-guerre-mondiale-sous-marin-allemands-etats-unis-britaniques
Site herodote.net https://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=19150507&get_all=1&ID_reac=7624&tout=1#7624
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